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Quand la guerre de la révolution sabre turc, qu'il avait reçu du prince vint à éclater, le prince joignit l'armée Potemkin, pour le garder toujours et autrichienne en Flandres, et se rendit le montrer à ses enfans. Il lègue en en Champagne avec le corps du géné- même temps au prince son père, un ral Clairfayt, qui le nomma son quar- tableau qui représente un combat autier-maître-général. Il retourna ensuite quel ils avaient pris part tous les deux. avec l'armée de ce général en Flandres A son jeune turc Nerokos, il laisse une pour s'opposer aux progrès de Du- somme suffisante pour son éducation, mouriez, et c'est là que la mort l'at- en lui conseillant d'embrasser l'état tendait. militaire; et à son ami le comte Ponia. towsky, son ceinturon, son épée, son cheval, et toutes les armes qu'on trou verait sur lui au moment de sa mort. Voici son portrait, tel que M, Soubiran l'a tracé :

Dumouriez fit attaquer un bois le 14 septembre 1792, et les chasseurs Autrichiens furent obligés de se retirer. Les Français avaient placé une batterie sur une hauteur, où deux chemins se croisaient, dont l'un entrait bien avant dans le bois et l'autre conduisait au quartier général des Autrichiens,

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« Le prince Charles de Ligne avait dans sa première jeunesse un air de naïveté, qui avec l'âge prit celui de Il fallait emporter cette batterie pour la vérité, et de la bonté unie à une replacer les chasseurs et arrêter l'enne- gaité inaltérable, à l'activité et à mi. Le prince s'y porta avec les chas- l'intrépidité. Sa taille était petite seurs et les hussards, et s'empara de comme celle de plusieurs grands trois canons. Voyant que ses hussards hommes, cependant plus élevée que hésitaient de prendre le quatrième, il celles du prince Eugène et du grand se retourna en criant : « Allons hus- Condé, ses héros par excellence. Il sards! encore ce canon! » Au même avait l'air noble, de beaux yeux, de instant un boulet de canon lui emporta beaux cheveux, le teint animé, et la tête, et la mitraille quatre doigts de des manières agréables et piquantes la main droite. Son cheval courut chez par leur naturel. Il est assez extraor les ennemis. Le peu de hussards qui «dinaire qu'on ne puisse citer un trait, échappèrent dans cette affaire, appor- un mot, une aventure ou un défaut, tèrent la nouvelle de sa mort au géné-à opposer à ses excellentes qualités ral Clairfayt. « et à ses actions. Jamais on ne fut On chercha son corps, et on le trou- « plus aimé et estimé dans la société et va dépouillé à l'entrée du bois, sur le « à l'armée ». chemin de séparation. On le porta dans un château voisin, et le lendemain on fit les funérailles avec tous les honneurs militaires dûs à son grade.

On lui avait enlevé tout ce qu'il por-tait sur lui, même les croix des deux ordres et une chaine d'or avec un médaillon, et on ne lui avait laissé qu'un ruban de soie blanche, qu'il portait autour du bras droit.

Le général Clairfayt fit réclamer ces objets au quartier-général français, et Dumouricz renvoya tout, sans exception.

Il paraît qu'il est mort à l'âge de 30 ou 31 an. Par son testament, qu'il avait, fait avant cette dernière campagne, il lègue entre autre à sa fille Sidonie, un

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Historische Gemaelde, etc.; Portraits historiques, traits caractéristiques et aventures remar quables de la vie de plusieurs personnages célèbres et fameux, publiés par une Société d'amis de l'histoire. Tome XIV in-8°. Leipsic. Hartknoch. 1 rxd. 8 gr.

Plusieurs des précédens voluines ont été annoncés dans ce journal, Voici les articles qui composent le quator◄ zième :

1) Le peintre Ringe, ou la bizarretie du caractère. 2) Don Alphonse de la Cueva, marquis de Bedemar. 3) De

l'origine des jeux d'amours dans le quatorzième siècle. 4) Kara Ismaël. 5) Tyrant le sage, ou le veeu du chevalier. 6) La fille de Colombe. 7) La mort de Michel Servet, exemple de l'intolérance et du fanatisme. 8) Histoire du marquis de Brumoy. 9) Nouvelles anecdotes sur Louis XV. 10) Déclaration singulière d'un assassin condamné à mort. 11) Le crime produit par la peur. 12) Jean Denzer, voleur d'enfans. 13) Scènes de la vie domestique d'un gentilhomme Livonien. 14) Hanno et Zélide, esclaves au Brésil. 15) Exemples de corruption, de générosité, de résolution et de présence d'esprit. 16) Maximilien, duc de Bavière et électeur. 17) Axel, comte d'Oxenstiern.

Le même ouvrage paraît sous le titre de :

Interessante Anekdoten, etc.; Anecdotes intéressantes, traits caractéristiques et événemens mémorables de la vie de plusieurs personnages célèbres et fameux. Tome II in-8°. Même adresse et même prix.

Leben und Regierung, etc.; Histoire de la vie et du règne du pape Léon X, par W. Roscoe; trad. de l'anglais par G. Glaser. Tome I. 530 pages gr. in-80 Leipsic. Crusius. 2 rxd. 12 gr.

Nous avons donné des extraits détaillés de l'original de cet ouvrage. On en prépare à Paris une traduction française.

Recollections of the Life of Charles James Fox; Souvenirs de la vie de Charles James Fox. in-8°. Londres. (Voyez le IX et le X*. cahier.)

(Suite):

En 1788 M. Fox fit un nouveau voyage sur le continent, En passant

par Lausanne, il y vit le célèbre historien Gibbon, qui, dans une de ses lettres, s'exprime ainsi sur son compte:

« M. Fox, dans son tour de Suisse, « m'a accordé deux jours de conversation libre et privée. J'ai admiré en lui les talens d'un homme supérieur, auxquels il joint la douceur et la simplicité d'un enfant. Jamais créature humaine ne fui plus exempte de malice, de vanité et de faussetén.

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A Rome, M. Fox reçut par un courier la nouvelle de la maladie du roi, et retourna à l'instant, ne nettant que neuf jours pour aller de Rome à Loudres; où il trouva son neveu lord Holland si malade, qu'on avait déjà apnoncé sa mort dans les papiers publics. S'il fut mort en effet, M. For aurait hérité de sa fortune et de son titre.

Dès son arrivée, il s'occupa avec ses partisans de faire donner la régence au prince de Galles, et ce fut là l'origine des débats mémorables qui s'élevèrent entre lui et M. Burke. Les ministres s'opposèrent obstinément à cette mesure, et la firent rejetter à une majorité Thurlow eurent tout l'honneur de cette de soixante-quatre voix. MM. Pitt et fameuse résistance. Le rétablissement de la santé du roi mit fin à tous ces dé

bats, et les espérances de M. Fox et de ses adhérens furent anéanties.

Il se rendit aux eaux de Bath, et as

sista aux courses de chevaux de Newmarket, au printemps de 1789, où il gagna environ 50,000 livres sterlings. En 1790, il vendit ses deux meilleurs coureurs pour la somme de 4400 guinées.

La Russie fut alors menacée d'une rupture avec la grande-Bretagne, à l'occasion des mesures prises contre la Porte. M. For soutint en parlement la nécessité de la paix, et envoya, à ce qu'on prétend, un agent à Catherine II chargé d'aviser avec cile aux mesures de prévenir les projets des ministres. L'impératrice écrivit à son ambassadeug à Londres, pour prier M. Fox de lui envoyer son buste en marbre blanc, fait par Nollekins, disant qu'elle voulait le placer entre ceux de Demos

thène et de Cicéron: Ce buste fut envoyé au mois d'août 1791.

Les premiers événemens de la révolution française, commencèrent à fixer l'attention de l'Europe. On les considéra généralement en Angleterre Comme favorables à la cause de l'humamité et de l'ordre social. M. Fox saisit vivement l'espérance de voir la nation française se donner une constitution libre. Il croyait qu'il en résulterait plus de bonheur pour la France et plus de tranquillité pour les états voisins. Son attention se portait sur les effets généraux de la liberté, et sur le caractère, les vues et les lumières de ceux qui jouaient un rôle actif dans la révolu

tion.

Dans une séance de la chambre des communes, ea 1790, M. Fox exprima son approbation sur ce qui se passait en France. M. Burke prit la parole pour dire, qu'il craignait que l'approbation donnée à la révolution de France, par un homme dont l'opinion était d'un si grand poids, ne fut regardée comme un encouragement à imiter de pareilles opérations en Angleterre. Il ajouta qu'il pensait comme M. Fox sur le des potisme du ministère français; mais qu'il différait totalement sur les effets probables de la révolution française, relativement au bonheur des habitans et à la tranquillité des peuples voisins. Il termina son discours par un grand éloge des talens et des vues de M. Fox. Celui-ci répondit qu'il détestait également le despotisme démocratique, aristocratique et monarchique; mais qu'il ne craignait point que la nouvelle constitution française dégénérât en tyrannie, sous aucune forme quelconque. Les deux orateurs continuèrent à avoir des relations d'amitié; mais dès ce moment ils ne se virent plus aussi

Souvent.

En 1791, à l'occasion d'un projet de constitution pour le Canada, Burke entra dans la discussion des principes généraux de la législation; et en examinant la déclaration des droits de l'homme et la constitution de 1791, il conclut en disant, qu'il était coavaincu

qu'on avait conçu le dessein de changer la forme du gouvernement établi en Angleterre.

M. For repoussa cette aggression avec vigueur, en reconnaissant les avantages de la constitution anglaise, malgré ses défauts; mais il répétait en même temps les éloges qu'il avait donnés à la révolution de France, qu'il considérait, dit-il, comme un des événemens les plus glorieux dans l'histoire des nations.

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Le discours s'étant échauffé, et M. Fox ayant dit, qu'il ne cesserait point d'ètre l'ami de M. Burke, celui-ci s'abandonnant sa fougue, lui répondit: Oui, nous avons cessé d'être amis: je sais ce que je me dois à moi-même ». Cette sortie inattendue de la part de son ancien ami, de son patron et de son instituteur politique, fit une profonde impression sur M. Fox. Il se leva pour parler et ne put proférer une seule parole; ses larmes le soulagèrent, et un profond silence régna pendant quel ques momens dans l'assemblée. Il retrouva enfin la parole, et dit que M. Burke voudrait bien se rappeler le passé et croire qu'il n'avait pas eu l'intention de l'offenser; qu'il ne pouvait renoncer à une relation intime de vingt cinq ans; mais que son cœur reconnais. sant ne pouvait pas se consoler, de se voir traité avec dureté par celui auquel l'avait attaché le sentiment des bienfaits reçus.

Burke resta inexorable, et exigea de M. For une renonciation formelle aux principes de la révolution française, avec la promesse de ne jamais renonveler la proposition de la réforme du parlement.

M. For ne put se soumettre à cette humiliation; et malgré les efforts des amis communs, Burke resta inflexible, et de ce moment là ils ne se rappro chèrent plus.

Burke continua à faire des observations sévères sur le compte de M. Fox; mais cela ne détacha point ce dernier de son ancien ami. Quelqu'un observant un jour devant lui, que Burke n'était qu'un sophiste, et qu'il ne devait

sa réputation qu'à l'éclat de son éloquence, M. Fox répondit : « Je ne suis point de votre avis; l'éloquence de M. Burke fait plutôt tort à sa ré« putation qu'elle ne la sert. Elle jette un voile sur sa sagesse. Ramenez son langage au simple, écartez ses images, et vous trouverez qu'il est encore plus sage qu'éloquent ». Lord Lauderdale dit un jour en présence de M. Fox, que Burke était un fou éloquent; le premier lui répondit : « Les uns le disent fou, les autres le croient inspiré; mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'il est prophète

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ท.

Lorsque M. For apprit que Burke ne se releverait plus de la maladie qui l'a conduit au tombeau, il écrivit à Mad. Burke qu'il désirait voir son mari, Mad. Burke ayant communiqué cette lettre à son mari, il la chargea de répondre à M. Fox, qu'il lui en avait beaucoup coûté pour rompre une ancienne amitié, mais que son <devoir exigeait ce sacrifice; que ses principes resteront les mêmes, puisqu'ils sont nécessaires au bonheur et a la dignité de son pays, et que pour « faire tout leur effet sur l'opinion publique, ils doivent être appuyés par

la conviction de sa sincérité ».

Il refusa donc la dernière entrevue avec son ami, ce qui n'empêcha pas M. Fox de pleurer amèrement sa perte.

Leben, Thaten und Meinungen, etc.; Vie, faits et opinions des personnages les plus remarquables de l'antiquité, par L. Hoerstel. Tomes I ́à III in-8°. Leipsic. Dyk. 6 rxd. 12 gr.

Nous n'avons annoncé que le troisième et dernier volume de cet ou vrage, qui embrasse toute l'histoire ancienne depuis Adam jusqu'à Romulus (tome I.), de Romulus à Alexandre (tome II), et d'Alexandre jusqu'à Theodoric.

Some account of the Life, etc.; Notices sur la vie et les écrits

de Lopez Félix de Vega Carpio, par H. Lord Holland. 300 pages in-8°. Londres. Cadell.

Nous revenons sur cet ouvrage, dont nous avons annoncé la publication il y a quelque temps. L'auteur, qui connaît à fond la littérature espagnole, cite un grand nombre de passages de Lopez de Vega, les traduit en vers anglais, autant que le permet la différence des langues, et met ainsi ses lecteurs en état de faire eux-mêmes la comparaison de ce qui peut les intéresser. Nous allons extraire ici quelques-unes des principales circonstances de la vie de Lopez.

Il naquit à Madrid en 1562, et donna de bonne heure des indices de son it génie. Avant l'âge de douze ans, composa quelques tragédies en quatre actes, selon l'ancien usage. Peu après, il en publia une en trois actes, qui semblait annoncer la réforme qu'il devait opérer au théâtre.

Le fameux duc d'Albe encouragea son talent, et lui donna l'idée d'un ouvrage mêlé de prose et de vers, intitulé Arcadia, espèce de pastorale en cinq chants, imitée de Sannazar et de plusieurs auteurs anciens. Il quitta ensuite la maison du duc d'Albe pour se marier; mais peu après une affaire d'honneur, où il blessa grièvement son adversaire, l'obligea de quitter Madrid avec sa famille.

Quelques années après, il y retourna; mais la mort de sa femme lui rendant ce séjour insupportable, il s'embarqua sur l'Armada ou flotte invincible, que Philippe 11 envoya tenter une descente en Angleterre. On connaît le sort de cette fameuse expédition. Lopez y perdit son frère, et com pom pendant ce malheureux voyage, un poëme sous le titre de la Hermosura d'Angelica (la beauté d'Angélique ), pour servir de suite à l'histoire de cette princesse, qui se trouve dans l'Arioste. En 1602, il publia une suite de son poëme composé à bord de l'Armada. Ce poëme, intitulé Dragontea, n'est qu'une satire sanglante contre l'a

miral Drake, qui avait le plus contribué à la ruine de la flotte espagnole, et où il le traite sans ménagement de tyran, de boucher, de poltron, etc.

Il s'était marié pour la seconde fois, et ayant encore perdu sa femme et un fils qu'il avait eu d'elle, il se jeta dans la dévotion, devint d'abord secrétaire de l'inquisition, se fit prêtre, et entra dans la confrairie de saint François comme membre honoraire. Il continua cependant de faire des vers et publia de nouveaux ouvrages, dans lesquels il repoussa avec vigueur les attaques de ses critiques, parmi lesquels se trouvaient deux auteurs célèbres Gongora et Michel Cervantes.

Le premier de ces deux écrivains était le fondateur d'une école de poésie, et c'est à lui qu'on attribue l'origine de ce style castillan, que les Espagnols désignent par l'épithète de Cultissimo, et qui se distingue par l'abus des métaphores et l'obscurité des constructions.

Lopez tourna en ridicule ce style vraiment vicieux, et en exposa les défauts dans une lettre qu'il mit à la tête de son églogue sur la mort d'Isabelle d'Urbina, publiée en 1621.

Quant à Cervantes, il a toujours rendu justice aux talens de Lopez, en insinuant toutefois, que, soit dans des vues intéressées, soit pour obtenir quel ques triomphes momentanés, Lopez avait trop sacrifié au goût des comédiens et du public. C'est à-peu-près ce que Lopez lui-même a avoué plus d'une fois; mais la mort de Cervantes, qui mourut le même jour que Shakespeare, laissa bientôt le champ libre à Lopez.

(La suite à un prochain cahier).

GÉOGRAPHIE, TOPOGRAPHIE.

Neue Beitraege zur Kenntniss von Indien, etc.; Nouveaux Mémoires pour servir à la connaissance des Indes, trad. de l'anglais par T. F. Ehrman. Tomes I, II et III, in-8°, avec

cartes et planches. Weimar. Bureau d'industrie. 7 rxd. 12 gr.

Collection de mémoires anciens et nouveaux sur l'histoire, la géographie, les curiosités naturelles des Indes, les mœurs, la religion et les usages des habitans, etc., dont la plupart ort paru isolément ou se trouvent confondus avec un grand nombre d'autres dans des recueils volumineux, tels que les Recherches asiatiques, etc. Voici le contenu de ces trois premiers volumes:

Volume 1. 1) Voyage de Chunargur à Yertnagodum dans le cercar d'Ellore, par le capitaine Blunt. 2) Voyage à Sirinagur, par le capitaine Thomas Hardwike. 3) Du cours du Gange par le Bengale, par le major Coolebroke; avec une carte. 4) Sur Singhala ou Ceylan, on le système des Buddistes, par le capitaine Mahony. 5) Sur la secte des Baazegurs ou Nuts, dans l'Indoustan, par le capitaine David Richardson. 6) Sur la secte des chrétiens de S. Thomas, sur la côte du Malabar, par Wrede. 7) Journal d'un voyage d'Agra

Qujein, par . Hunter. 8) De la religion et des mœurs des habitans de Ceylan, par Joinville.

Volume II. 1) De la religion et des mœurs des Burmans, par Fr. Bucha nan. 2) Description des cavernes d'Ellora. 3) Note sur les habitans des îles Poggy, près de Sumatra, par J. Crisp. 4) Sur les sources de pétrole ou d'asphilte dans l'empire des Burmans, par le capitaine Cox. 5) Observations sur les antiquités trouvées sur la côte méridionale et occidentale de Ceylan, par le capitaine Makenzie. 6) De l'origine et des dogmes de quelques sectes ma. hométanes aux Indes. 7) Notice sur une divinité héréditaire vivante révérée par les brames de Puna et de ses environs, par le capit. Moore. 8) Voyage de deux mahométans sur l'Océan indien, fait dans le neuvième siècle ; trad. de l'arabe par Renaudot.

Neueste Laender-und Voelkerkunde, etc.; Mémoires pour servir

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