Oeuvres complètes de M. de Voltaire, Volume 20Sanson et compagnie, 1791 |
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... ment qu'il avait défendu étant abbé . Vous trou- verez ce fait dans les mémoires de la fincére madame de Motteville . Il faut obferver que depuis que le cardinal de Richelieu avait introduit à la cour les fpectacles réguliers , qui ont ...
... ment qu'il avait défendu étant abbé . Vous trou- verez ce fait dans les mémoires de la fincére madame de Motteville . Il faut obferver que depuis que le cardinal de Richelieu avait introduit à la cour les fpectacles réguliers , qui ont ...
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... ment de l'opéra en France , fit exécuter dans ce temps - là même à fes dépens , dans fon château de Neubourg , la Toifon d'or de Pierre Corneille , avec des machines . Quinault , jeune et d'une figure agréable , avait pour lui la cour ...
... ment de l'opéra en France , fit exécuter dans ce temps - là même à fes dépens , dans fon château de Neubourg , la Toifon d'or de Pierre Corneille , avec des machines . Quinault , jeune et d'une figure agréable , avait pour lui la cour ...
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... vendit que quatorze cents mille francs . Le prix exceffif des places au parlement , fi diminué depuis , prouve quel refte de confidé- T. 20. Siècle . Tome III . B ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe . ment FOUQUET . 17.
... vendit que quatorze cents mille francs . Le prix exceffif des places au parlement , fi diminué depuis , prouve quel refte de confidé- T. 20. Siècle . Tome III . B ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe . ment FOUQUET . 17.
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Voltaire. ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe . ment même . Le duc de Guife , grand - chambellan du roi , n'avait vendu cette charge de la couronne au duc de Bouillon que huit cent mille livres . C'était la fronde , c'était ...
Voltaire. ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe . ment même . Le duc de Guife , grand - chambellan du roi , n'avait vendu cette charge de la couronne au duc de Bouillon que huit cent mille livres . C'était la fronde , c'était ...
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... ment odieux du chancelier Séguier contre lui , le temps qui éteint l'envie publique et qui infpire la compaffion pour les malheureux , enfin les follici- tations toujours plus vives en faveur d'un infortuné que les manoeuvres pour le ...
... ment odieux du chancelier Séguier contre lui , le temps qui éteint l'envie publique et qui infpire la compaffion pour les malheureux , enfin les follici- tations toujours plus vives en faveur d'un infortuné que les manoeuvres pour le ...
Common terms and phrases
accufations affez affuré ainfi auffi avaient c'eft c'eſt C'était calviniftes Cambrai cardinal de Noailles cardinal de Richelieu caufe cents chofes Clément XI clergé Colbert commerce compofée condamner confeil conferver confidérables cour difait difputes donner duc d'Orléans ducheffe édit de Nantes efprit enfans enfuite eſt évêques fages faibleffe fans favait fcience fe trouve fecret fefait feigneurs femblait Fénélon fentait fervir feul fiècle fociété foit font fous fouvent fouverain fubfifte fuivant fujets fur-tout goût guerre Henri IV Hollande hommes huguenots Innocent XII janféniftes jéfuites jufqu'à juftice l'archevêque l'efprit l'Eglife l'Etat l'Europe l'hiftoire laiffa lettres livre long-temps Louis XIV Louvois madame de Maintenon mademoiſelle maréchal miffionnaires millions miniftre Mme de Maintenon Montefpan mort n'avait n'eft n'était nation néceffaire paffé pape penfer père perfonne peuple philofophie plufieurs préfent prefque prince princeffe propofitions proteftans puiffance raifon refpect refte religion Rome royaume s'eft ufage دو دو دو وو
Popular passages
Page 99 - il a fallu que je lui ordonne de se retirer, parce que tout ce « qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on « doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.
Page 171 - C'est moins un livre que des matériaux pour orner un livre. On lut avidement ce petit recueil; il accoutuma à penser, et à renfermer ses pensées dans un tour vif, précis et délicat.
Page 99 - Catalogne, l'Aragon et autres lieux; voyez ce qu'il y aura à faire pour Ceuta. Jetez quelque argent au peuple quand vous serez en Espagne, et surtout en entrant à Madrid.
Page 173 - Bourdaloue fût connu. Ses discours, soutenus d'une action noble et touchante, les premiers qu'on eût encore entendus à la cour qui approchassent du sublime...
Page 99 - Quand on a l'État en vue, on travaille pour soi ; le bien de l'un fait la gloire de l'autre : quand le premier est heureux, élevé et puissant, celui qui en est cause en est glorieux, et par conséquent doit plus goûter que ses sujets, par rapport à lui et à eux, tout ce qu'il ya de plus agréable dans la vie.
Page 188 - Quiconque approfondit la théorie des arts purement de génie, doit, s'il a quelque génie luimême, savoir que ces premières beautés, ces grands traits naturels qui appartiennent à ces arts, et qui conviennent à la nation pour laquelle on travaille, sont en petit nombre. Les sujets et les embellissements propres aux sujets ont des bornes bien plus resserrées qu'on ne pense.
Page 183 - Elle est de 1664 ; c'est la première comédie où l'on ait peint ceux que l'on a appelés depuis les marquis. La plupart des grands seigneurs de la cour de Louis XIV voulaient imiter cet air de grandeur, d'éclat, et de dignité qu'avait leur maître. Ceux d'un ordre inférieur copiaient la...
Page 65 - Madame, je vous ai fait attendre longtemps ; mais vous avez tant d'amis que j'ai voulu avoir seul ce mérite auprès de vous.
Page 182 - Sévigné, la première personne de son siècle pour le style épistolaire, et surtout pour conter des bagatelles avec grâce, croit toujours que Racine n'ira pas loin. Elle en jugeait comme du café, dont elle dit qu'on se désabusera bientôt.
Page 98 - Tenez tous les Français dans l'ordre. « Traitez bien vos domestiques, mais ne leur donnez pas trop de familiarité, et encore moins de créance.