Histoire du Directoire, Volume 2Méline, Cans, 1851 |
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... voit , que l'émeute du 20 juin , recommencée , perfectionnée , et dépas- sant le but de ses auteurs . C'est pour cela que le récit des pré- paratifs et de l'accomplissement de cette révolution exige l'ex- position rapide et préalable de ...
... voit , que l'émeute du 20 juin , recommencée , perfectionnée , et dépas- sant le but de ses auteurs . C'est pour cela que le récit des pré- paratifs et de l'accomplissement de cette révolution exige l'ex- position rapide et préalable de ...
Page 14
... voit , les Girondins viennent de se renier et de s'accuser . Ce n'est pas tout encore , car ils vont se diffamer . Ils avaient formé , dans la rue d'Argenteuil , où demeurait Dufriche - Valazé , une sorte de cercle , où ils dînaient et ...
... voit , les Girondins viennent de se renier et de s'accuser . Ce n'est pas tout encore , car ils vont se diffamer . Ils avaient formé , dans la rue d'Argenteuil , où demeurait Dufriche - Valazé , une sorte de cercle , où ils dînaient et ...
Page 32
... voit par ces faits et par ces dates , fidèlement extraits des registres d'écrou et du dépôt des mandats d'arrêt , que les Girondins furent enfermés dans les quatre prisons du Luxem bourg , de l'Abbaye , de la Grande - Force et de la ...
... voit par ces faits et par ces dates , fidèlement extraits des registres d'écrou et du dépôt des mandats d'arrêt , que les Girondins furent enfermés dans les quatre prisons du Luxem bourg , de l'Abbaye , de la Grande - Force et de la ...
Page 35
... voit , fort accrue . D'abord , le récit simple a pris la forme du dialogue ; ensuite , nous voyons poindre Bailleul , qui aurait été l'ordonnateur de ce festin . Quel était ce Bailleul ? où était - il ? Pourquoi manquait - il à un ...
... voit , fort accrue . D'abord , le récit simple a pris la forme du dialogue ; ensuite , nous voyons poindre Bailleul , qui aurait été l'ordonnateur de ce festin . Quel était ce Bailleul ? où était - il ? Pourquoi manquait - il à un ...
Page 40
... voit et qui entend toutes ces choses , et qui est leur caution auprès de la postérité . N'avions - nous pas raison de le dire ? Il serait impossible de rien ajouter à ce récit , rien ; si ce n'est la vérité . - Hélas ! oui , ce banquet ...
... voit et qui entend toutes ces choses , et qui est leur caution auprès de la postérité . N'avions - nous pas raison de le dire ? Il serait impossible de rien ajouter à ce récit , rien ; si ce n'est la vérité . - Hélas ! oui , ce banquet ...
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Common terms and phrases
10 août 20 juin adresses amis armée arrêté avaient Bailleul banquet Barbaroux bataillon Bertrand de Molleville Brissot Bulletin du tribunal Buzot C'était Camille Desmoulins Chronique de cinquante cinquante jours citoyens clubs comité commission des Douze Conciergerie Condorcet Constitution Convention courage Danton déchéance déclaration décret demande département député directoire discours dit-elle Ducos Dumouriez écroué eût factieux faction faubourg Saint-Antoine Fayette fédérés Fonfrède fût garde nationale général Gensonné Gironde Girondins Gonchon Grangeneuve Guadet hommes ibid Idem Jacobins journal juillet l'Assemblée législative l'émeute l'insurrection Lasource lettre liberté Louis XVI Louvet Luxembourg madame Roland maire Mandat Marat Marseillais Mémoires de madame ment ministres mois monarchie Moniteur mort municipalité n'avait n'était octobre patrie patriotes Peltier personne Petion peuple philosophes politique prison Prudhomme Ræderer raison République reste révolution du 10 Riouffe Robespierre Roederer s'était Santerre séance sections serait Sillery sort tion transféré tribunal révolutionnaire tribune trouver Tuileries Vergniaud vertu d'un jugement
Popular passages
Page 278 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 276 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 277 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire...
Page 293 - Le chef du pouvoir exécutif est le premier anneau de la chaîne contre-révolutionnaire. Il semble participer aux complots de Pilnitz, qu'il a fait connaître si tard. Son nom lutte chaque jour contre celui de la nation ; son nom est un signal de discorde entre le peuple et ses magistrats, entre les soldats et les généraux. Il a séparé ses intérêts de ceux...
Page 277 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis! Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix. Tout est soldat pour vous combattre...
Page 188 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à...
Page 281 - Dansons la Carmagnole./ Vive le son. vive le son./ Dansons la Carmagnole./ Vive le son du canon .'/ /Monsieur Veto avait promis!
Page 222 - Ici les principes de liberté et d'égalité sont chéris, les lois respectées, la propriété sacrée; ici l'on ne connaît ni les calomnies ni les factions : et lorsque je songe que la France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement...
Page 221 - Jourdan trouvent des panégyristes; là, le récit de l'assassinat qui a souillé la ville de Metz vient encore d'exciter d'infernales acclamations. « Croira-t-on échapper à ces reproches, en se targuant d'un manifeste autrichien, où ces sectaires (les Jacobins) sont nommés?
Page 63 - Ravage se tait : mais le lendemain matin on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.