Histoire de la révolution française, Volume 2J.P. Meline, 1834 |
From inside the book
Results 1-5 of 82
Page 2
... rendre plus vraisemblables les projets imputés à la cour . Toute porte qui se ferme est abattue . Deux huissiers voulant interdire l'entrée du grand conseil , et s'immoler à l'étiquette , sont massacrés en un instant . Les nombreux ...
... rendre plus vraisemblables les projets imputés à la cour . Toute porte qui se ferme est abattue . Deux huissiers voulant interdire l'entrée du grand conseil , et s'immoler à l'étiquette , sont massacrés en un instant . Les nombreux ...
Page 6
... rendre dans les provinces et les armées , pour les éclairer sur les événements du 10 août , et on leur donna des pouvoirs pour renouveler au besoin tous les chefs civils et militaires . Quelques heures avaient suffi à tous ces décrets ...
... rendre dans les provinces et les armées , pour les éclairer sur les événements du 10 août , et on leur donna des pouvoirs pour renouveler au besoin tous les chefs civils et militaires . Quelques heures avaient suffi à tous ces décrets ...
Page 9
... rendre compte de l'état de Paris , qu'il avait visité , et où il avait tâché de ré- pandre le calme et l'esprit de paix . Des citoyens s'étaient faits ses gardiens pour veiller sur ses jours . Pétion fut parfaitement accueilli par l ...
... rendre compte de l'état de Paris , qu'il avait visité , et où il avait tâché de ré- pandre le calme et l'esprit de paix . Des citoyens s'étaient faits ses gardiens pour veiller sur ses jours . Pétion fut parfaitement accueilli par l ...
Page 31
... rendre un décret de transla- tion , avait fait une courageuse résistance . La haute cour nationale était , disait - elle , un établissement constitution- nel , qu'elle ne pouvait changer , parce qu'elle n'avait pas les pouvoirs ...
... rendre un décret de transla- tion , avait fait une courageuse résistance . La haute cour nationale était , disait - elle , un établissement constitution- nel , qu'elle ne pouvait changer , parce qu'elle n'avait pas les pouvoirs ...
Page 34
... rendre dans une place assiégée . Sur la demande de la commune , on ordonna que Paris et les départements voisins fourniraient , sous quelques jours , trente mille hommes armés et équipés . L'enthou- siasme qui régnait rendait cet ...
... rendre dans une place assiégée . Sur la demande de la commune , on ordonna que Paris et les départements voisins fourniraient , sous quelques jours , trente mille hommes armés et équipés . L'enthou- siasme qui régnait rendait cet ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août accusation applaudissements aristocrates armée assemblées assignats Autrichiens avaient Barbaroux Barrère Belgique Beurnonville Brissot Buzot c'était cause cent citoyens club comité commissaires commission des douze commune complots conseil conspirateurs constitution convention nationale côté courage crimes Custine d'Orléans Danton déclare décret demande départements députés désordre devait dit-il Dumouriez enfin ennemis ensuite envoya exciter exécutif fallait force Garat général Gensonné girondins Guadet guerre Hollande jacobins jour journée jugement Kellermann l'armée l'assemblée l'ennemi l'insurrection Lafayette laisser Lanjuinais législative liberté Louis XVI Louvet maire mande Marat membres menaces ment Meuse mille hommes ministre montagnards Montagne moyens municipalité n'avait n'était Neerwinden Pache parole patrie patriotes Pétion pétition peuple place porte pouvait présente président projet propose proposition Prussiens Racour républicains république résistance réunir révolution révolutionnaire Robespierre Roland royauté s'était salle salut public Santerre sauver séance sections serait seul société sur-le-champ suspects tion tribunal tribunes troupes trouvait tumulte Vergniaud violente voix vote voulait
Popular passages
Page 58 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 53 - Hier ! fut un jour sur les événements duquel il faut peut-être laisser un voile. Je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice ; il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur : il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop longtemps épargnés par le glaive de la loi, et que le péril des circonstances lui persuade devoir être immolés sans délai.
Page 242 - En vous parlant peut-être pour la dernière fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple...
Page 254 - L'étranger qui passe s'étonne de leur grandeur ; s'il veut y pénétrer, qu'y trouve-t-il ? Des cendres inanimées et le silence des tombeaux.
Page 229 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde : je lui dois le même service lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 241 - ... fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui; il le détruisit : le peuple demandait l'abolition de la servitude; il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines : le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés ; il...
Page 503 - J'exhorte chaque citoyen à conserver le sentiment de ses droits ; je l'invite à compter sur sa force et sur celle de toute la nation ; j'invite le peuple à se mettre, dans la Convention nationale, en insurrection contre tous les députés corrompus. [Applaudi.] Je déclare qu'ayant reçu du peuple le droit de défendre ses droits, je regarde comme mon oppresseur celui qui m'interrompt, ou qui me refuse la parole , et je déclare que , moi seul , je me mets en insurrection contre le président,...
Page 242 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 242 - On vient de vous exposer mes moyens de défense : je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 249 - Critias, les Anitus, les César, les Clodius, étaient de la majorité; mais Socrate était de la minorité, car il avala la ciguë; Caton était de la minorité. car il déchira ses entrailles.