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don, Jahr aus Jahr ein, solche Bücher oder Di rectories; aber es befinden sich darin höchstens die Banquiers, Kaufleute 2c. für die öffentlichen Bedies nungen, für die Rechtsgelehrten, die Parlements glieder u. s. w. muß man wieder eigene Almanache kaufen. Und da sind immer noch viele tausend Leute, deren Wohnung, Vornahmen, Geschäfte ic. man oft um keinen Preis in London selbst, geschweige danh im Auslande erfahren kann, ob fie gleich Hauswirthe und ansehnliche Männer seyn mögen. Diesem Mangel half im I. 1796. zuerst Hr. William Holden ab, der ein Triennial directory herausgab, welches an Correctheit und Vollständigkeit alle andre so sehr übertraf, daß es sich in wenigen Monaten völlig vergrif. Mit der zweyten Ausgabe 1799. gieng es, ungeach tet des viel höhern Preises, noch reissender. Jezt im Februar kommt die dritte Ausgabe davon heraus. Preis 178. 6d. schön gebunden. Diese begreift nun nicht allein London, Westminster und Southwark, fondern auch einen Umkreis von zehen Meilen. Der Eigenthümer giebt sich die gröfte Mühe zur Correkte heit; seine Erkundiger find alle beeidiget. Auch für diejenigen, welche London blos aus Neugierde wollen kennen lernen, ist dieses Buch merkwürdig. Man kann lange in London gewohnt haben, und es dennoch mit Erstaunen durchblättern. Holden wohnt No. 8. Northampton buildings, Rosoman's street, Clerkenwell. Wem an einem Exemplare liegt, muß seine Bestellungen ungesäumt geben.

Unter den neuen Patent erfindungen zeichnen sich drey aus. 1) Naphtaly Hart in Pime lico, Middlesex, hat einen neuen Goniometer oder

Winkelmesser erfunden. 2) James Boaz, Manufak turist in Glasgow, hat eine neue Methode erfunden, wodurch man Gedanken, Nachrichten c. in der Ent fernung durch Zeichen, Lichter u. s. w. mittheilen kann. 3) L. Collin und Butters, ein Drechsler in London, haben eine Maschine erfunden, wodurch Menschen, die nicht schwimmen können, vom Ertrinken gerettet werden. Sie wollen der Maschine, den Nahmen Collinette geben.

Prospectus d'un poeme en quatre chants, intitulé le malheur et la pitié, par M. l'abbé de Lille, l'un de quarante de l'academie françoise. Si les devoirs des riches, des maitres, des parens, des amis; si ce que les affections sociales ont de plus tendre, le pitié particulière de plus touchant, les etablissemens public de plus charitable, les grands malheurs de plus auguste, l'oppression de plus atroce, le brigandage de plus odieux, peuvent produire un grand interêt; rien ne manque à celui du Poète que nous annonçons.

Peut être, l'epoque où il est publié, n'est pas trèsdéfavorable à son succès. S'il trouve le courage un peu affoibli par les longues souffrances, dans ceux mêmes qui les avoient soutenu avec tant d'heroisme, il trouvera presque convertis, si non dans leur conduite, du moins dans leurs opinions, ceux qui, appuyant des theories audacieuses par une violence déstructive, après avoir sacrifié une génération entière à leurs terribles épreuves, versé, pour un bonheur incertain, des calamités certaines sur toutes les parties du globe, se sont vus avec humiliation et avec dépit reconduits, par la revolution qu'ils croyoient conduire, au terme dont ils étoient partis, les premiers su jets, et souvent les premières victimes d'un pouvoir qui en fait ses instrumens,s'ils sont dociles, et qui les écrasent, s'ils sont menaçans. Peut-être dégoutera-t-il de leur assertions, également injustes et ridicules, ceux qui veulent toujours trouver, dans le passé, les excuses du pre sent, qui rappellent avec une complaisance cruelle, que dans aucune des revolutions anciennes et modernes, mulle restitution a été faite, nulle injustice reparée. En opposition à l'abus dangereux qu'on veut faire de ceux exem ples, ils entendront une voix libre leur crier: C'est parceque ces exemples ont été plusieurs fois ré

pétés, qu'il faut trembler de les renouveller encore! On frémiroit, si l'on avoit la mésure des desastres qu'a produits l'impunité des spoliations injustes, et des soulèvemens téméraires, Ceux qui ont rencontré les principaux auteurs de notre revolution, ont su d'eux-mêmes la confiance que leur inspiroit le succès des revolutions précédentes, les moyens d'imitation qu'ils y ont puisés, et quelquefois le besoin qu'on a eu, pour les finir, de ceux qui les avoient commencées. Du milieu de tant de calamités, de cet anvis de décombres, ils entendront sor ir un cri terrible, qui avertira les sujets et les souverains, combien il est dangereux, pour les uns, de se laisser entrainer loin de l'obéissance par des espérances chimériques; pour les autres de s'opposer trop tard à ces nouveautés hardies, qui par les communications faciles que la navigation et l'imprimerie établissent entre tous les peuples, portent cette contagion rapide d'un bout du monde à l'autre.

De tous ceux qui pouvoient faire valoir ces grandes vérités, peut-être l'auteur de ce poëme étoit celui qui pouvoit le faire avec moins de difficulté et plus de succès. Malgré la notoriété et l'invariabilité de sa conduite et de ses principes politiques, ceux dont il combat les opinions, lui ont conservé une partie de la considération dont il jouissoit sous l'ancien gouvernement. Le courage qu'il a eu de refuser au tyran de sa patrie une Ode pour sa fete à l'Etre suprême, ne l'a point conduit à l'échafaud. Si les nouvelles autorités ont laissé dans l'abandon sa vieillesse et sa cécité, si elles ont injustement retenu une fortune acquise par 40 ans de travaux qui ont fait quelque honneur à la France littéraire, et ont donné à la langue de son pays des richesses nouvelles, elles ont eu pour sa personne des égards remarquables; et, quoique habitant d'un pays, alois en guerre avec la France, son nom ne se trouve pas encore sur les listes d'emigration. L'extrême interêt qu'il attache à l'effèt qu'il espère de cet ouvrage, lui a fait voir avec plaisir ces ménagemens, il verra sans craintè les changemens que sa publication pourra produire.

Les éditeurs de ce poeme n'ont rien négligé pour en rendre l'exécution typographique digne de l'ouvrage, et de son estimable auteur.

Ce poëme, précédé d'une Ode à l'Immortalité, par le même, volume in 4°. sur papier velin superfin, orné d'une très belle gravure, paroitra à la fin de Fevrier 1802. On payera en le recevant, deux guinées. Les personnes qui desirent se procurer cette édition, la seule avouée par l'auteur, sont priées de se faire inscrire chez Prosper et Comp.

libraires No. 2. Wardourstreet à Londres, attendu que le nombre des souscripteurs ceterminera celui des exemplaires.

ner.

Neue Kupferstiche.

Bonaparte reviewing the Consular guard. Gemahlt in Paris von J. Masquerier, gestochen in London von C. FurZu haken bey dem lezteren in Warrenstreet. Preis L. 1. 11s. 6d. Unter den verschiedenen Urtheilen über das Gemählde, wovon dieses Kupfer genommen ist, sind die meiften günstig. Die Aehnlichkeit föll groß seyn. Was es das mit auch für eine Bewandtniß haben mag, die Composition ist gut und der Stich vortrefflich.

Hector a young lion in the Tower gemahlt und gestochen von Laurie. Zu haben bey dem leztern in Fleetstreet. Es gehört als Gegenstück zu diesem Löwen eine Tigerin von Stubbs gemahlt und ebenfalls von Laurie gestochen. Beyde Blätter verdienen das größte Lob.

Sieben Kupfer vorstellend Shakespears berühmte sieben Menschenalter. Gemahlt von Emirke und gestochen von Thew, Simon, Ogborne, Tomkins und Lenor. Bey Boydells in der ShakespearGallerie. Preis fünf Guineen. Långe 21 Zoll; Höhe 18 Zoll. Emirke ist einer der würdig ften Akademiker in London, und diese sieben Gemählde has ben seinen Ruf, wo möglich, noch erhöhet. Er hat sich so ganz in den großen Dichter hineingedacht, daß es schwehr feyn dürfte, diesen Gegenstand nach ihm zu versuchen. Die Stiche sind alle mit unglaublicher Genauigkeit gemacht, eine Folge des liberalen Preises,den Boydell gutenKünstlern giebt.

Ackermann giebt,,Muster zum Eficen in Wolle“ heraus (patterns for working in worsteads) wovon die erste Nummer, Preis eine Guinee, erschienen ist. Die Muster find colorirt und in sehr gutem Geschmack.

Neue Bücher vom Januar.

Portraits of prize cattle and south down sheep, together with the proceedings of the sussex agricultural Society. by Edmund Scott. imperial 4to. 15s. Robinsons. A letter to Sir W. Pulteney on the subject of the trade between India and Europe, by Sir S. Dallers 5s. Stockdale. The Maid of Lochlin a syrical drama with legendary odes by W. Richardson 8. 3s. Vernor et Hood.

Almeda,, or the Neapolitan revenge, a tragic drama, by a Lady. 25. Symonds.

The female Jacobin Club from the German of Kotzebue. by Siber. Vernor et Hood.

Chains of the heart, a musical drama now performing at 'Coventgarden. 2s. Barker.

The poor gentleman, a Comedy by S. Colman, the younger. 2s. 6d. Longman.

The accomplished Tutor or complete system of liberal education by Th. Hodson. 2 vols. 8. 18s. Symond.

The arts of life, for the instruction of young persons. by the author of evenings at home. Johnson.

Early Lessons. by Maria Edgeworth. Ten parts. 5s. Johnson. The trial of Joseph Wall Esq. governor of Goree, for the Murder of Serjeant Armstrong &c. by Pennington. Is. Jordan.

Ditto by another hand. 8d. Lee.

Essays on the diseases of Children, with Cases and dissections; Essay I. of the Croup by John Cheyne M. D. large 8vo. 16s. Longman and Rees.

The ancient et modern state of the parish of Creammond, with biographical collections of John Law of Lauriston, Comptroller general of France, of whose family Colonel Lauriston, the bearer of the preliminaries of peace, is now the head and representative. 4to. 15s.

A treatise on Brewing with practical examples and the manner of using the Thermometer and Saccharometer elucidated by examples. by A. Morrice, common Brewer. 10s. 6d. Symonds.

Brewing made easy, being a compendium of all that has been written on the art, with directions for the making and preservation of made Wines. by W. Moir, Butler &c. 1s. 6d. Lawrence.

An elucidation of the conduct of Pope Pius VII. with respect to the Bishops and ecclesiastical affairs of France. With a translation of the Briefs. by the Rev. J. Milner. 2s. 6d. Keating.

Mathematical and philosophical repository and review by Leybourne No. 12. to be continued halfyearly, 2s. 6d. Glendinning.

The Accusing spirit, a novel. 4 vols. 20s. Lane.

Warkfield Castle, a Tale. 3 vols. 15s. Lane.

The history of Netterville or the chaise pedestrian, by a Lady of Bristol, Crosby,

A continuation (third fasciculus of the second volume) of an account of Indian serpents, published under the su

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