| Madame Roland - 1821 - 450 pages
...légère! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les momens de la chaleur ; là, tandis que mon père couché sur l'herbe , et ma mère doucement...feuilles que j'avais préparé, se livraient au sommeil del'après-dîner, je contemplais la majesté de tes bois silencieux, j'admirais la nature, j'adorais... | |
| Roland (Madam) - 1823 - 494 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les momens de la chaleur; là , tandis que mon père couché sur l'herbe , et ma mère doucement...bienfaits; le feu du sentiment colorait mes joues humides, el les charmes du paradis terrestre existaient pour mon cœur dans tes Asiles champêtres ! Le récit... | |
| 1858 - 678 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement...existaient pour mon cœur dans tes asiles champêtres ! » Elle était moins lyrique et plus naturellement émue dans ces simples lignes écrites dix-huit... | |
| 1858 - 660 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement...existaient pour mon cœur dans tes asiles champêtres!» Elle était moins lyrique et plus naturellement émue dans ces simples lignes écrites dix-huit ans... | |
| Eugène Geruzez - 1859 - 446 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur ; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement...sommeil de l'après-dîner , je contemplais la majesté bliés en 1841 par M. Auguste Breuil. Cette correspondance, à laquelle nous faisons bien des emprunts,... | |
| Eugène Geruzez - 1859 - 448 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement...que j'avais préparé, se livraient au sommeil de l'après-diner, je contemplais la majesté bliés en 1841 par M. Auguste Breuil. Cette correspondance,... | |
| Eugène Geruzez - 1859 - 444 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur ; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement...que j'avais préparé, se livraient au sommeil de l'après-diner , je contemplais la majesté hliés en 1841 par M. Auguste Breuil. Cette correspondance,... | |
| Léonce Stièvenard - 1863 - 462 pages
...arbres ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur. Là, tandis que mon père, couché sur l'herbe, et ma mère doucement...sommeil de l'après-dîner, je contemplais la majesté des bois silencieux, . . . j'adorais la Providence dont je sentais les bienfaits, ... et les charmes... | |
| Louis Blanc - 1864 - 1012 pages
...arbres ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les moments de la chaleur. Là, tandis que mon père, couché sur l'herbe, et ma mère doucement...sur un amas de feuilles que j'avais préparé, se livraienl au sommeil de l 'après-dîner, je contemplais l;i majesté des bois silencieux, . . . j'adorais... | |
| Madame Roland - 1864 - 470 pages
...légère ! Je me rappelle ces lieux plus sombres où nous passions les momens de la chaleur; là, tandis que mon père couché sur l'herbe, et ma mère doucement appuyée sur un amas de feuilles que j' a vois préparé, se livroient au sommeil de l'après-dînée, je contemplois la majesté de tes... | |
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