Essai sur la littérature anglaiseE. et V. Penaud, 1849 - 488 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 87
Page 4
... voix ; il emploie le génitif absolu des Grecs , l'ablatif absolu des Latins . Quand ses mots composés n'ont pas été trop étrangers à notre langue dans leur étymologie tirée des langues mortes ou de l'italien , je les ai adoptés : ainsi ...
... voix ; il emploie le génitif absolu des Grecs , l'ablatif absolu des Latins . Quand ses mots composés n'ont pas été trop étrangers à notre langue dans leur étymologie tirée des langues mortes ou de l'italien , je les ai adoptés : ainsi ...
Page 27
... voix ! Toutes mes pensées étaient pour Dargo , je l'aimais de toute « la force de mes souvenirs pour Armor . Dargo , l'autre nuit j'ai ◅ goûté le sommeil à tes côtés sur la bruyère . N'est - il pas de place << cette nuit dans ta ...
... voix ! Toutes mes pensées étaient pour Dargo , je l'aimais de toute « la force de mes souvenirs pour Armor . Dargo , l'autre nuit j'ai ◅ goûté le sommeil à tes côtés sur la bruyère . N'est - il pas de place << cette nuit dans ta ...
Page 28
... voix si douce , que le manoir du laird Torchill en fut ravi . Il eût été bien malheureusement né celui qui ne fût pas né poète en ce temps - là . Les rois mêmes l'étaient : Alfred le Grand , Canut le Grand , fu- rent l'honneur des ...
... voix si douce , que le manoir du laird Torchill en fut ravi . Il eût été bien malheureusement né celui qui ne fût pas né poète en ce temps - là . Les rois mêmes l'étaient : Alfred le Grand , Canut le Grand , fu- rent l'honneur des ...
Page 29
... voix rauque , et l'aigle affamé de chair , et le milan vorace , et le a loup fauve des bois . « Jamais plus grand carnage n'eut lieu dans cette île ; jamais plus « d'hommes n'y périrent par le tranchant de l'épée , depuis le jour où les ...
... voix rauque , et l'aigle affamé de chair , et le milan vorace , et le a loup fauve des bois . « Jamais plus grand carnage n'eut lieu dans cette île ; jamais plus « d'hommes n'y périrent par le tranchant de l'épée , depuis le jour où les ...
Page 30
... voix humaine . Quand les nations du Nord eurent triomphé , force fut de trouver ce langage harmo- nieux , et de comprendre les ordres que le maître dictait à l'esclave . Les rhythmes militaires se viennent terminer à la chanson de Ro ...
... voix humaine . Quand les nations du Nord eurent triomphé , force fut de trouver ce langage harmo- nieux , et de comprendre les ordres que le maître dictait à l'esclave . Les rhythmes militaires se viennent terminer à la chanson de Ro ...
Other editions - View all
FRE-ESSAI SUR LA LITTERATURE A John 1608-1674 Milton,Francois-Rene Vicomte De Chateaubriand No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
Adam ailes amour anges anglais Angleterre arbre armée belle bientôt brillante céleste chant Charles Ier charmante chérubins choses ciel cieux cœur colère colline Cordeilla créatures créé d'Adam d'Eve d'or demeure Dieu dieux divine douce doux Écosse Éden Égypte élevé ennemi Érasme esprits esprits rebelles éthérée étoiles Ève femme fils fleurs force fruit gloire goût guerre haut Henri VIII heureux hommes humaine infernal j'ai Jacques Ier jamais joie jour jugement jusqu'à juste l'air l'amour l'ange l'arbre l'enfer l'homme laissé langue leva liberté loin lord Byron lumière Luther main maintenant malheur matin ment Milton monde montagne mort nature nuage nuit orbes ouvrages Paradis perdu parle paroles passé péché pensées père peuple poëme poète porte premier présent protestantisme puissance puissant race regards règne reste saint Satan semble sent sera serpent seul Shakespeare siècle sois soleil sorte ténèbres terre tête Thomas More tombe Tout-Puissant travers trône trouve Uriel voix yeux
Popular passages
Page 30 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé ellemême, c'est le dévouement à la science.
Page 236 - Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et...
Page 236 - ... mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde dont la surface des eaux m'offrait l'image ; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me berçait...
Page 104 - Wilt thou be gone ? it is not yet near day. It was the nightingale, and not the lark, That pierced the fearful hollow of thine ear; Nightly she sings on yon pomegranate tree. Believe me, love, it was the nightingale.
Page 108 - J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis, Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin. Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père...
Page 209 - ... du vassal, la simple foi du chrétien, s'y mêlaient à la rude indépendance plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. Il ne parlait pas plus qu'un lion ; il se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts : son intelligence était du genre de celle...
Page 236 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 278 - I nos destins ont été pareils 1 mes songes s'évanouissent, à mesure que vos palais s'écroulent; les heures de mon printemps se sont noircies, comme les arabesques dont le faîte de vos monuments est orné. Mais vous périssez à votre insu; moi, je sais mes ruines; votre ciel voluptueux, la vénusté des flots qui vous lavent, me trouvent aussi sensible que je le fus jamais.
Page 97 - ... temps : elle annonce la décadence de la haute poésie et du vrai drame ; on se contente des petites beautés , quand on est impuissant aux grandes ; on imite , à tromper l'œil , des fauteuils et du velours , quand on ne peut plus peindre la physionomie de l'homme assis sur ce velours et dans ces fauteuils.
Page 237 - J'ai achevé ma course : et plût à Dieu que je pusse ajouter : J'ai été fidèle ! Qu'il me soft permis d'employer uniquement pour Dieu et pour moi-même ce qui me reste de vie Là, oubliant les choses du monde, je passerai devant Dieu toutes les années de ma vie dans l'amertume de mon âme.