Guizot collection of pamphlets, Volume 351861 |
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... sentiments qui sont les miens sur les traités de 1815. Mais aussi je pense que la France pacifique livrée au travail trouve , dans les limites qui lui sont faites , des satisfactions de grandeur qui ne lui font dé- sirer en aucune façon ...
... sentiments qui sont les miens sur les traités de 1815. Mais aussi je pense que la France pacifique livrée au travail trouve , dans les limites qui lui sont faites , des satisfactions de grandeur qui ne lui font dé- sirer en aucune façon ...
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... sentiment de la France . ( Très - bien ! très- bien ! ) Qu'a - t - il dit : « Je ne veux encoura- ger ni servir la Révolution en Italie . » Sur la question fondamentale de la Papauté , il a inscrit sur notre drapeau : « Je ne veux pas ...
... sentiment de la France . ( Très - bien ! très- bien ! ) Qu'a - t - il dit : « Je ne veux encoura- ger ni servir la Révolution en Italie . » Sur la question fondamentale de la Papauté , il a inscrit sur notre drapeau : « Je ne veux pas ...
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... sentiments , dans les mêmes pensées , avec peut - être cepen- dant quelques nuances et un caractère dif- férent . A l'égard du Saint - Siége , je dois dire ici tout ce que je pense . Je n'aime à médire ni des pouvoirs tombés ni des ...
... sentiments , dans les mêmes pensées , avec peut - être cepen- dant quelques nuances et un caractère dif- férent . A l'égard du Saint - Siége , je dois dire ici tout ce que je pense . Je n'aime à médire ni des pouvoirs tombés ni des ...
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vérités fondamentales , qu'on pourrait presque appeler des lieux communs : le sentiment reli- gieux est le ressort moral le plus nécessaire , le plus incontestable de toutes les sociétés . Le christianisme est la religion du monde ...
vérités fondamentales , qu'on pourrait presque appeler des lieux communs : le sentiment reli- gieux est le ressort moral le plus nécessaire , le plus incontestable de toutes les sociétés . Le christianisme est la religion du monde ...
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... sentiment po- litique . Eh bien ! est - ce le moment de jeter le doute sur l'avenir de cette grande institution ? est - ce le moment de ne pas se préoccuper des dangers de cet ébranlement , que vous dites purement matériel , mais qui ...
... sentiment po- litique . Eh bien ! est - ce le moment de jeter le doute sur l'avenir de cette grande institution ? est - ce le moment de ne pas se préoccuper des dangers de cet ébranlement , que vous dites purement matériel , mais qui ...
Common terms and phrases
actes Adam Smith Anglais avez baronne de Feuchères catholique Chambre CHARLES château de Villette cher Monseigneur chose cœur comte de Chambord Conny conseil CROMWELL Cubi décret demande Députés dernier devant dévouement Dieu dire Dreux-Brézé duc d'Aumale duc de Bourbon duc de Broglie duchesse d'Orléans écrit enfants évêque Fairfax Feuchères fidéicommis gouvernement hommes IRETON Irlandais j'ai jour journaux judiciaire juge justice l'Angleterre l'Empereur l'évêque de Moulins l'Irlande l'Italie laissé légale légataire universel législation Lesurques lettre liberté lois Louis XVIII Madame la duchesse main marquis de Villette ment messieurs ministre Mollien monde monseigneur de Brézé Monseigneur de Moulins Montreuil mort n'avait nation noble Odilon Barrot parler paroles pays pensée père personne peuple phrénologie Piémont politique pouvoir Préfet de police premier Président prince principe procès publique qu'un reste révolution RICHEMOND rien royale saint sais Sangro sentiments serait seul Smith Stuart testament testamentaire testateur tion tribunal trouve vérité Viel-Castel Voilà volonté
Popular passages
Page 17 - J'ai admiré le 10 août; j'ai frémi sur les suites du 2 septembre ; j'ai bien jugé ce que la patience longue et trompée du peuple et ce que sa justice avaient dû produire; je n'ai point inconsidérément blâmé un terrible et premier mouvement ; j'ai cru qu'il fallait éviter sa continuité...
Page 9 - Je pense que ces crimes n'eussent pas eu un aussi libre cours, qu'ils eussent été arrêtés si tous ceux qui avaient en main le pouvoir et la force les eussent vus avec horreur; mais, je dois le dire, parce que cela est vrai, plusieurs de ces hommes publics , de ces défenseurs de la patrie croyaient que ces journées désastreuses et déshonorantes étaient nécessaires, qu'elles purgeaient l'empire d'hommes dangereux, qu'elles portaient l'épouvante dans l'ame des conspirateurs, et que ces crimes...
Page 19 - ... du hasard, de la force, du succès, de l'éclat et du bruit, plus que de la vraie gloire; plus capable d'héroïsme que de vertu, de génie que de bon sens, propre à concevoir d'immenses desseins plutôt qu'à parachever de grandes entreprises; la plus brillante et la plus dangereuse des nations de l'Europe, et la mieux faite pour y devenir tour à tour un objet d'admiration, de haine, de pitié, de terreur, mais jamais d'indifférence?
Page 18 - Quand je considère cette nation en elle-même, je la trouve plus extraordinaire qu'aucun des événements de son histoire. En at-il jamais paru sur la terre une seule qui fût si remplie de contrastes et si extrême dans chacun de ses actes, plus conduite par des sensations, moins par des principes; faisant ainsi toujours plus mal...
Page 14 - ... fonctions de jurés et de juges ; une douzaine de bourreaux, les bras nus, couverts de sang, les uns avec des massues, les autres avec des sabres et des coutelas qui en dégouttaient...
Page 18 - ... des événements ; et, pour donner plus d'effet à une réquisition à laquelle était bornée son autorité, il la fit imprimer et afficher à tous les coins de rue : c'était avertir les citoyens de veiller eux-mêmes, si le commandant oubliait son devoir. Sur les cinq heures du soir du dimanche...
Page 23 - Barrot n'a pas servi, comme il aurait voulu les servir, les intérêts pour lesquels il est monté à cette tribune, en s'avançant autant qu'il a fait. (Bruit.) Messieurs, il appartient peut-être bien à ceux qui, dans le passé, ont toujours servi les rois, de parler maintenant du pays et de parler du peuple. Quelques voix : Bien ! très-bien ! M. de la Rochejaquelein : Aujourd'hui, vous n'êtes rien ici ; vous n'êtes plus rien ! ... Au centre : Comment donc ! comment donc ! M.
Page 17 - Nemours et suivie de ses deux enfants, elle monte les degrés de la salle par le couloir du centre qui conduit à la porte placée au-dessous de l'horloge. Arrivée aux derniers bancs du centre gauche, elle y prend place, toujours entourée du même cortége, au milieu des acclamations de la Chambre presque entière.
Page 18 - ... mieux qu'on ne s'y attendait, tantôt au-dessous du niveau commun de l'humanité, tantôt fort au-dessus ; un peuple tellement inaltérable dans ses principaux instincts, qu'on le reconnaît encore dans des portraits qui ont été faits de lui il ya deux ou trois mille ans, et, en même temps, tellement mobile dans ses pensées journalières et dans ses goûts, qu'il finit par se devenir un spectacle inattendu à lui-même, et demeure souvent aussi surpris que les étrangers à la vue de ce qu'il...
Page 9 - Le Roi et la famille royale désirent que vous fassiez choix d'un prince de votre famille pour hériter un jour de votre nom et de votre fortune. On croit que c'est moi seule qui mets obstacle à l'accomplissement de ce vœu ; et même...