Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 17-18Paulin, 1835 |
From inside the book
Results 1-5 of 68
Page 12
... voulait rester autour de l'assemblée nationale jusqu'à ce qu'elle eût prononcé la déchéance du roi . ( Les tribunes applau- dissent . M. le président leur ordonne de respecter l'assem- blée . ) Des bataillons marchaient du côté du ...
... voulait rester autour de l'assemblée nationale jusqu'à ce qu'elle eût prononcé la déchéance du roi . ( Les tribunes applau- dissent . M. le président leur ordonne de respecter l'assem- blée . ) Des bataillons marchaient du côté du ...
Page 36
... voulait à ses jours . Ces assassins s'étaient réunis à Meudon . Ils ont aussi tenu leurs conciliabules en divers autres endroits , qui étaient leurs points de ralliement . Ils promettent que dans peu d'instans M. Pétion sera rendu à son ...
... voulait à ses jours . Ces assassins s'étaient réunis à Meudon . Ils ont aussi tenu leurs conciliabules en divers autres endroits , qui étaient leurs points de ralliement . Ils promettent que dans peu d'instans M. Pétion sera rendu à son ...
Page 38
... voulait voir naître la guerre civile , déchargeait un coup de sabre sur le commandant marseillais , les coups de fusi's portaient la mort dans sa troupe . Je demande au peuple français de respecter la vie de ces soldats et des officiers ...
... voulait voir naître la guerre civile , déchargeait un coup de sabre sur le commandant marseillais , les coups de fusi's portaient la mort dans sa troupe . Je demande au peuple français de respecter la vie de ces soldats et des officiers ...
Page 46
... voulait se porter sur tous les Suisses des portes , L'assemblée générale a ordonné qu'il serait fait aussitôt une proclamation : cette proclamation est conçue en ces termes : Peuple souverain , suspens ta vengeance , la justice endor ...
... voulait se porter sur tous les Suisses des portes , L'assemblée générale a ordonné qu'il serait fait aussitôt une proclamation : cette proclamation est conçue en ces termes : Peuple souverain , suspens ta vengeance , la justice endor ...
Page 53
... voulait que conserver le statu quo , ou intri- guait pour des passions et des intérêts particuliers ; lui seul ex- primait le sentiment national . Il se trouva donc uni avec toutes les sociétés populaires que ce sentiment avait fait ...
... voulait que conserver le statu quo , ou intri- guait pour des passions et des intérêts particuliers ; lui seul ex- primait le sentiment national . Il se trouva donc uni avec toutes les sociétés populaires que ce sentiment avait fait ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août administrateurs annonce applaudit armée armes arrêté assemblées avaient avons barre bataillon camp cent château citoyens Clairfait comité de surveillance commissaires commission extraordinaire Commune conseil conseil-général Constitution Convention nationale corps législatif déclare demande dénoncer départemens députation Dumourier ennemis envoyé événemens Fayette force frontières garde nationale général guichet heures j'ai Jacobins jour journal journée juges justice l'Abbaye l'abbé Sicard l'armée l'assemblée nationale l'ennemi lettre liberté liste civile Longwi Louis XVI Luckner maire Marat massacre matin membres ment mesures mille hommes ministre de l'intérieur Montmorin mort nommé Note des auteurs ordonne ordre passer patrie patriotisme personnes Pétion pétition peuple pièces porte poste pouvoir exécutif présent président prison prison de l'Abbaye prisonniers procès-verbal projet proposition publique rendre représentans révolution Robespierre sabre Saint-Méard Sainte-Menehould sauver séance section section de l'Arsenal section des Lombards septembre sera serment seront seul sieur sorte Suisses sur-le-champ sûreté tion toyens tribunal trouvé Tuileries Verdun
Popular passages
Page 44 - Les citoyens prêteront, dans les assemblées primaires, et les électeurs, dans les assemblées électorales, le serment de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant.
Page 118 - Tous les ecclésiastiques qui, étant assujettis au serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790 et celle du 17 avril 1791, ne l'ont pas prêté, ou qui , après l'avoir prêté, l'ont rétracté, et ont persisté dans leur rétractation , seront tenus de sortir , sous huit jours, des limites du district et du département de leur résidence , et dans quinzaine , hors du royaume.
Page 383 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 18 - Le chef du pouvoir exécutif est provisoirement suspendu de ses fonctions, jusqu'à ce que la Convention nationale ait prononcé sur les mesures qu'elle croira devoir adopter pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l'égalité.
Page 350 - Les députés que vous avez envoyés pour calmer le peuple sont parvenus avec beaucoup de peine aux portes de l'Abbaye. Là, nous avons essayé de nous faire entendre. Un de nous est monté sur une chaise ; mais à peine eut-il prononcé quelques paroles , que sa voix fut couverte par des cris tumultueux. Un autre orateur, M. Bazire , a essayé de se faire écouter par un début adroit; mais quand le peuple vit qu'il ne parlait pas selon ses vues , il le força de se taire.
Page 18 - L'Assemblée, nationale , considérant que les dangers de la patrie sont parvenus à leur comble ; « Que c'est pour le Corps législatif le plus saint des devoirs d'employer tous les moyens de la sauver ; qu'il est impossible d'en trouver d'efficaces, tant qu'on ne s'occupera pas de tarir la source de ses maux...
Page 109 - IP courage; tout raisonnement était suspendu, et le plus froid et le plus incrédule en reçut autant d'impression que le plus ardent et le plus sensible. Une demiheure après ces deux prêtres furent massacrés, et nous entendîmes leurs cris!...
Page 345 - C'est en ce moment que l'Assemblée nationale va devenir un véritable comité de guerre. • Nous demandons que vous concouriez avec nous à diriger ce mouvement sublime du peuple, en nommant des commissaires qui nous seconderont dans ces grandes mesures. Nous demandons que quiconque refusera de servir de sa personne, ou de remettre ses armes, soit puni de mort.
Page 345 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 358 - Citoyens, l'ennemi est aux portes de Paris ; Verdun, qui l'arrête, ne peut tenir que huit jours. Tous les citoyens qui défendent le château ont juré de mourir plutôt que de se rendre. C'est vous dire que , quand ils vous font un rempart de leurs corps , il est de votre devoir de voler à leur secours.