Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 17-18Paulin, 1835 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 77
... j'ai l'honneur de remettre à votre majesté les états de re- cettes et dépenses de ses quatre compagnies des gardes du corps , du 1er avril 1788 , au 1er juillet 1791. Votre majesté verra avec quelle économie et quelle fidélité elle a ...
... j'ai l'honneur de remettre à votre majesté les états de re- cettes et dépenses de ses quatre compagnies des gardes du corps , du 1er avril 1788 , au 1er juillet 1791. Votre majesté verra avec quelle économie et quelle fidélité elle a ...
Page 92
... j'ai fait preuve de cou- rage ; mais je m'opposerai toujours à un tribunal qui disposerait arbitrairement de la vie des citoyens . M. Thuriot . Il ne faut pas que quelques hommes qui ne con- naissent pas les vrais principes , qui ne ...
... j'ai fait preuve de cou- rage ; mais je m'opposerai toujours à un tribunal qui disposerait arbitrairement de la vie des citoyens . M. Thuriot . Il ne faut pas que quelques hommes qui ne con- naissent pas les vrais principes , qui ne ...
Page 107
... J'ai dit que je ne me rappelais pas précisément les époques . Il est possible que ce soit en 1790 que M. Castel- neau ait été rappelé ; mais , à quelque époque que ce soit , je suis certain que la raison de ce rappel n'a été que les ...
... J'ai dit que je ne me rappelais pas précisément les époques . Il est possible que ce soit en 1790 que M. Castel- neau ait été rappelé ; mais , à quelque époque que ce soit , je suis certain que la raison de ce rappel n'a été que les ...
Page 112
... j'ai dû croire qu'il allait en résulter un nouvel ordre de choses . Nos agens , qui avaient été repoussés jusqu'alors , furent écoutés comme ils l'avaient été précédemment . Ils annonçaient les dispositions des cours où ils étaient ...
... j'ai dû croire qu'il allait en résulter un nouvel ordre de choses . Nos agens , qui avaient été repoussés jusqu'alors , furent écoutés comme ils l'avaient été précédemment . Ils annonçaient les dispositions des cours où ils étaient ...
Page 149
... j'ai un conseil à leur donner , c'est de retourner aux frontières et d'y trouver la mort . Ils n'ont que ce moyen de conserver l'honneur . M. Brival . Mais si la capitulation leur défend de reprendre les armes ? N ... La capitulation a ...
... j'ai un conseil à leur donner , c'est de retourner aux frontières et d'y trouver la mort . Ils n'ont que ce moyen de conserver l'honneur . M. Brival . Mais si la capitulation leur défend de reprendre les armes ? N ... La capitulation a ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août administrateurs annonce applaudit armée armes arrêté assemblées avaient avons barre bataillon camp cent château citoyens Clairfait comité de surveillance commissaires commission extraordinaire Commune conseil conseil-général Constitution Convention nationale corps législatif déclare demande dénoncer départemens députation Dumourier ennemis envoyé événemens Fayette force frontières garde nationale général guichet heures j'ai Jacobins jour journal journée juges justice l'Abbaye l'abbé Sicard l'armée l'assemblée nationale l'ennemi lettre liberté liste civile Longwi Louis XVI Luckner maire Marat massacre matin membres ment mesures mille hommes ministre de l'intérieur Montmorin mort nommé Note des auteurs ordonne ordre passer patrie patriotisme personnes Pétion pétition peuple pièces porte poste pouvoir exécutif présent président prison prison de l'Abbaye prisonniers procès-verbal projet proposition publique rendre représentans révolution Robespierre sabre Saint-Méard Sainte-Menehould sauver séance section section de l'Arsenal section des Lombards septembre sera serment seront seul sieur sorte Suisses sur-le-champ sûreté tion toyens tribunal trouvé Tuileries Verdun
Popular passages
Page 44 - Les citoyens prêteront, dans les assemblées primaires, et les électeurs, dans les assemblées électorales, le serment de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant.
Page 118 - Tous les ecclésiastiques qui, étant assujettis au serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790 et celle du 17 avril 1791, ne l'ont pas prêté, ou qui , après l'avoir prêté, l'ont rétracté, et ont persisté dans leur rétractation , seront tenus de sortir , sous huit jours, des limites du district et du département de leur résidence , et dans quinzaine , hors du royaume.
Page 383 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 18 - Le chef du pouvoir exécutif est provisoirement suspendu de ses fonctions, jusqu'à ce que la Convention nationale ait prononcé sur les mesures qu'elle croira devoir adopter pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l'égalité.
Page 350 - Les députés que vous avez envoyés pour calmer le peuple sont parvenus avec beaucoup de peine aux portes de l'Abbaye. Là, nous avons essayé de nous faire entendre. Un de nous est monté sur une chaise ; mais à peine eut-il prononcé quelques paroles , que sa voix fut couverte par des cris tumultueux. Un autre orateur, M. Bazire , a essayé de se faire écouter par un début adroit; mais quand le peuple vit qu'il ne parlait pas selon ses vues , il le força de se taire.
Page 18 - L'Assemblée, nationale , considérant que les dangers de la patrie sont parvenus à leur comble ; « Que c'est pour le Corps législatif le plus saint des devoirs d'employer tous les moyens de la sauver ; qu'il est impossible d'en trouver d'efficaces, tant qu'on ne s'occupera pas de tarir la source de ses maux...
Page 109 - IP courage; tout raisonnement était suspendu, et le plus froid et le plus incrédule en reçut autant d'impression que le plus ardent et le plus sensible. Une demiheure après ces deux prêtres furent massacrés, et nous entendîmes leurs cris!...
Page 345 - C'est en ce moment que l'Assemblée nationale va devenir un véritable comité de guerre. • Nous demandons que vous concouriez avec nous à diriger ce mouvement sublime du peuple, en nommant des commissaires qui nous seconderont dans ces grandes mesures. Nous demandons que quiconque refusera de servir de sa personne, ou de remettre ses armes, soit puni de mort.
Page 345 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 358 - Citoyens, l'ennemi est aux portes de Paris ; Verdun, qui l'arrête, ne peut tenir que huit jours. Tous les citoyens qui défendent le château ont juré de mourir plutôt que de se rendre. C'est vous dire que , quand ils vous font un rempart de leurs corps , il est de votre devoir de voler à leur secours.