Mercure de France au dix-neuvième siècle1772 |
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Common terms and phrases
affez ainfi Alcippe amour Atrée auffi avoient avoit c'eft C'eſt caufe ceffe charmes cher Chevalier chofe compofé compofition Comte confeil confidérable connoître D'ORVILLE deftin différens diftribution eft mort eftampe enfans enfuite eſt étoient étoit faifoit fans doute fanté fcène fciences fe trouve fecond fecret fein femble fenfible fens fent fera feroit fervir feul fille fimple fociété fœur foin foit fon père font fous fouvent fpectacle François fuccès fuis fuivant fujet fur-tout graces Hippodamie homme intéreffantes j'ai jeuneffe jour jufqu'à jufte Julie Junie l'Abbé l'Académie l'amour l'auteur l'hiftoire laiffe lettres Libraire long-tems Lucile Madame maifon Marquife Melcour ment miniftre Monfieur Montbel mufique n'avoit n'eft nouart Nozan obfervations paffer paffion paroît Pere Amiot perfonne piéces plaifir plufieurs préfenté Prince propofe refte rue des Mathurins s'eft s'étoit SÉLICOURT Sidy Sophie St Albin Suétone tems Terville Thiefte tion trifte Valfrais Vilmon Zehra
Popular passages
Page 113 - Quand le tambour frappera deux coups, il faut vous tourner de façon que votre poitrine foit dans l'endroit ou étoit ci-devant votre main droite. Si au lieu de deux coups vous en entendiez trois , il faudroit vous tourner de forte que votre poitrine fût précifément dans l'endroit où étoit auparavant votre main gauche. Mais...
Page 116 - Sun-tfe ordonna à celles des femmes qui formoient les deux rangs de tuer les deux qui étoient à leur tête. A l'inftant , un de ceux qui étoient prépofés pour la garde des femmes, voyant bien que le Guerrier n'entendoitpas raillerie , fe détache pour aller avertir le Roi de ce qui fe paflfoit.
Page 88 - ISAnalise des Conciles généraux et particuliers , contenant leurs canons sur le dogme , la morale et la discipline , tant ancienne que moderne , expliqués par des notes , conférés avec le droit nouveau , notamment avec le droit particulier de la France , et...
Page 121 - ... honnête ! Une vieille tante qui n'a que des confeils à me donner me fait quelquefois envifager le couvent comme la feule retraite qui convienne à une Demoifelle bien née , & qui n'eft pas riche. Hélas ! je ne ferai pas plutôt enfermée dans ce...
Page 116 - Sun-tfe ne fe déconcerta point ; mais du même ton, dont il leur avoit parlé auparavant , il leur dit : Si je ne m'étois pas bien expliqué , ou que vous ne...
Page 56 - Épttres sur la vieillesse et sur la vérité, suivies de quelques pièces fugitives en vers, et d'une comédie nouvelle en prose et en un acte qui a pour titre : le Mariage de Julie, par M. Saurin, de l'Académie française.
Page 135 - Et de demander pour les autres; » jamais pour vous ? la grâce dont il s'agit en faveur d'un de vos amis , » je vous l'accorde pour votre fils.
Page 118 - Roi ayant appris tout ce qui s'étoic paflTé , fut pénétré de la plus vive douleur. J'ai donc perdu , dit-il en pouffant un profond foupir , j'ai donc perdu ce que j'aimois le plus en ce monde. . . . Que cet Etranger fe retire dans fon pays.
Page 7 - Leur fang verfé devient fertile ; Leur cendre reproduit un Peuple de Héros ; Un Chrétien meurt, il en naît mille j Leur nombre laffe les Bourreaux.
Page 98 - J'ai vu parmi les rangs, malgré la foule extrême, De maint auteur dolent la face sèche et blême : Deux Grecs et deux Latins escortaient le cercueil, Et, le mouchoir en main, Barbin menait le deuil.