Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée a un souverain d' Allemagne ...Longchamps, 1812 - 394 pages |
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... public par la beauté d'un poëme qu'il appelait son poëme , parce qu'il n'en avait pris que le plan au comte Algarotti , et que la plupart des vers , empruntés de Racine , se trouvaient si bien estropiés dans l'opéra , que Racine lui ...
... public par la beauté d'un poëme qu'il appelait son poëme , parce qu'il n'en avait pris que le plan au comte Algarotti , et que la plupart des vers , empruntés de Racine , se trouvaient si bien estropiés dans l'opéra , que Racine lui ...
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... public demanda l'auteur à grands cris , et le reçut avec des acclamations multi- pliées . C'est alors que le parti des gluckistes fré- mit , et que celui des Sacchini , des Piccini , des Traëtta reprit un peu courage . On sut que notre ...
... public demanda l'auteur à grands cris , et le reçut avec des acclamations multi- pliées . C'est alors que le parti des gluckistes fré- mit , et que celui des Sacchini , des Piccini , des Traëtta reprit un peu courage . On sut que notre ...
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... public que ce malheureux Desrues ; on peut dire aussi qu'il en est en est peu dont la conduite ait annoncé une âme plus ferme et plus tranquillement féroce . Le projet de s'ap- proprier une terre de cent mille francs sans en payer un ...
... public que ce malheureux Desrues ; on peut dire aussi qu'il en est en est peu dont la conduite ait annoncé une âme plus ferme et plus tranquillement féroce . Le projet de s'ap- proprier une terre de cent mille francs sans en payer un ...
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... public , cette femme se décide , s'adresse à vous , et me demande en mariage comme elle demanderait une pièce d'étoffe chez Buffault ! Quel amour ! quelle délicatesse ! — Mais si tu savais combien elle est belle , combien elle est ...
... public , cette femme se décide , s'adresse à vous , et me demande en mariage comme elle demanderait une pièce d'étoffe chez Buffault ! Quel amour ! quelle délicatesse ! — Mais si tu savais combien elle est belle , combien elle est ...
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... public servent d'aliment ; Sois le fléau du fanatisme , Mais ne le combats que gaîment . Surtout pèse dans tes balances Les feux follets des jouissances Et les plaisirs du sentiment . On a donné , le samedi 12 , la première repré ...
... public servent d'aliment ; Sois le fléau du fanatisme , Mais ne le combats que gaîment . Surtout pèse dans tes balances Les feux follets des jouissances Et les plaisirs du sentiment . On a donné , le samedi 12 , la première repré ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 313 - Génovéfin la faculté de prêcher , et le pauvre homme, qui se croyait un don tout particulier pour l'éloquence de la chaire, se trouve suffisamment puni. On vient de traduire du hollandais un ouvrage de M. le baron de Haren , intitulé : Recherches historiques sur l'état de la religion chrétienne au Japon relativement à la nation hollandaise. Le premier objet de cet ouvrage est de justifier les Hollandais accusés d'avoir été les instigateurs de la persécution et la proscription du christianisme...
Page 181 - Aux yeux de Paris enchanté, Reçois en ce jour un hommage Que confirmera d'âge en âge La sévère postérité. Non , tu n'as pas besoin d'atteindre au noir rivage Pour jouir des honneurs de l'immortalité ! Voltaire, reçois la couronne Que l'on vient de te présenter : 11 est beau de la mériter, Quand c'est la France qui la donne ! On a crié bis!
Page 244 - Daigna m'instruire encore au sortir de ses mains. Je ne veux point me peindre avec trop d'avantage ; Mais si quelque vertu m'est tombée en partage , Seigneur, je crois surtout avoir fait éclater La haine des forfaits qu'on ose m'imputer. C'est par là qu'Hippolyte est connu dans la Grèce.
Page 226 - Le mourant ressuscite en apprenant cette grande nouvelle. Il embrasse bien tendrement M. de Lally. Il voit que le roi est le défenseur de la justice ; il mourra content.
Page 288 - Son but avait quelque chose de noble et d'imposant , c'était la domination et la puissance ; aujourd hui petite dans ses vues comme dans ses moyens, la vanité et la fortune en sont le mobile et le terme. Elle tendait à unir les hommes ; aujourd'hui elle les isole. Plus dangereuse alors elle...
Page 281 - II lisait avec beaucoup d'attention le Dictionnaire de Bayle en suivant la ligne des deux colonnes. Quel excellent ouvrage s'il était un peu moins abstrait! — « Vous avez été ce soir à la Comédie, monsieur Geoffrin? Que donnait-on? — Je ne vous le dirai pas • je me suis empressé d'entrer, et je n'ai pas eu le temps de regarder l'affiche.
Page 232 - Je me serais gardé de briser mon chef-d'œuvre. Celui que dans Athène eût adoré la Grèce, Que dans Rome à sa table Auguste eût fait asseoir, Nos Césars d'aujourd'hui n'ont pas voulu le voir, Et monsieur de Beaumont lui refuse une messe. Oui, vous avez raison, monsieur de Saint-Sulpice, Eh! pourquoi l'enterrer? N'est-il pas immortel? A ce divin génie on peut sans injustice Refuser un tombeau, mais non pas un autel.
Page 273 - II faut convenir qu'il est peu de liaisons aussi anciennes que la nôtre.' — ' Cela est vrai." — " II ya cinquante ans.' — 'Oui, cinquante ans passés.
Page 179 - ... toutes les barrières, toutes les croisées étaient remplies de spectateurs, et le carrosse à peine arrêté, on était déjà monté sur l'impériale et même jusque sur les roues pour contempler la divinité de plus près. Dans la salle même, l'enthousiasme du public, que l'on ne croyait pas pouvoir aller plus loin, a paru redoubler encore lorsque M. de Voltaire, placé aux secondes, dans la loge des gentilshommes de la chambre, entre...
Page 290 - Inconvéniens de la vie de Paris , qui n'est pas seulement fort étonnante pour son âge , mais qui a paru même fort supérieure à tous ses modèles. C'est une mère qui a deux filles , l'une élevée dans la simplicité de la vie champêtre , l'autre dans tous les grands airs de la capitale.