Mercure françias, Issue 2151812 |
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Page 7
... cher troupeau , Rassemble ses amis , les soutient , les ranime , Et , le dernier de tous , calme , il sort de l'abyme . A travers sa fatigue et sa noble sueur , Dans tous ses traits éclate une mâle grandeur . II emporte son fils , ô ...
... cher troupeau , Rassemble ses amis , les soutient , les ranime , Et , le dernier de tous , calme , il sort de l'abyme . A travers sa fatigue et sa noble sueur , Dans tous ses traits éclate une mâle grandeur . II emporte son fils , ô ...
Page 24
... cher qu'il avait accompagné de ses regrets et de ses voeux , à son départ pour Cadix , le jeune Racine y avait péri . Transporté sur le lieu même , à l'instant du désastre , ou plutôt du péril , au moment où la mer s'élance , Le Brun s ...
... cher qu'il avait accompagné de ses regrets et de ses voeux , à son départ pour Cadix , le jeune Racine y avait péri . Transporté sur le lieu même , à l'instant du désastre , ou plutôt du péril , au moment où la mer s'élance , Le Brun s ...
Page 28
... cher convalescent , tant que ma présence et mes soins pouvaient lui être utiles , et qu'il n'y avait per- sonne pour me remplacer ; il était loin d'être remis de l'affliction que lui causait la démence de son ami . Le baron de Dorneck ...
... cher convalescent , tant que ma présence et mes soins pouvaient lui être utiles , et qu'il n'y avait per- sonne pour me remplacer ; il était loin d'être remis de l'affliction que lui causait la démence de son ami . Le baron de Dorneck ...
Page 31
... cher Lindau , qui l'attacherait plus encore à moi ; je le deman- dais au ciel avec ardeur , mais j'étais mariée depuis plus d'une année sans que rien m'annonçât qu'ils fussent exaucés . Lindau voyait mon désir et mon chagrin , et il en ...
... cher Lindau , qui l'attacherait plus encore à moi ; je le deman- dais au ciel avec ardeur , mais j'étais mariée depuis plus d'une année sans que rien m'annonçât qu'ils fussent exaucés . Lindau voyait mon désir et mon chagrin , et il en ...
Page 34
... cher accourir ; c'était mon père : je fis arrê- ter , et en jetant un cri je tombai sans connaissance dans ses bras tremblans . Quand je revins à moi , j'étais couchée sur le gazon ; l'amour paternel cherchait en vain mon pouls et ma ...
... cher accourir ; c'était mon père : je fis arrê- ter , et en jetant un cri je tombai sans connaissance dans ses bras tremblans . Quand je revins à moi , j'étais couchée sur le gazon ; l'amour paternel cherchait en vain mon pouls et ma ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 448 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 259 - Lorsque vous peignez des héros , vous faites ce que vous voulez. Ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature. On veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 170 - Tantôt, comme une abeille ardente à son ouvrage, Elle s'en va de fleurs dépouiller le rivage : Elle peint les festins, les danses et les ris ; Vante un baiser cueilli sur les lèvres d'Iris, 8ui mollement résiste, et, par un doux caprice, uelquefois le refuse afin qu'on le ravisse.
Page 238 - J'ai • embelli pendant huit ans cette campagne, et j'y »ai vécu heureux au sein de ma famille; les habitants de cette terre, au nombre de dix-sept cent «vingt, la quittent à votre approche, et moi je » mets le feu à ma maison , pour qu'elle ne soit pas » souillée par votre présence. Français , je vous ai « abandonné mes deux maisons de Moscou , avec »un mobilier d'un demi-million de roubles. Ici » vous ne trouverez que des cendres.
Page 213 - Harpe , a guetté le jour où, bien poudré et paré de son habit de velours noir, sa veste dorée et ses manchettes de filet brodé , il allait à un dîner de jolies femmes et de beaux -esprits. Il l'aborde poliment dans la rue, lui donne quelques coups de poing, et le sauce un peu dans le ruisseau , sans respect pour sa parure , et puis s'en va. M de La Harpe prétend que la chose ne s'est pas passée ainsi.
Page 329 - Kremlin et brûler les établissemens publics qui restent, et qu'it se rapprochera de cent lieues de la Pologne , pour établir ses quartiers d'hiver dans un pays ami, et être à portée de recevoir tout ce qui existe dans les magasins de...
Page 57 - Barca, les déserts escarpés; Mais l'aspect d'un lion , roi des plages brûlantes , Les a tous dissipés. Dieux! avec quels transports une épouse, une mère, Vont presser le vainqueur entre leurs bras chéris ! Qu'il est beau de couvrir les cheveux blancs d'un...
Page 216 - Voltaire, il voulut finir sa visite par un coup de génie, et lui dit en tournant doucement son chapeau entre ses doigts : « Aujourd'hui, monsieur, je ne suis venu voir qu'Homère; je viendrai voir un autre jour Euripide et Sophocle, et puis Tacite, et puis Lucien, etc.
Page 40 - ... bataille. Sur six cadavres, il y en avait un français et cinq russes. Quarante généraux russes ont été tués, blessés ou pris : le général Bagration a été blessé. « Nous avons perdu le général de division comte Montbrun, tué d'un coup de canon; le général comte Caulaincourt, qui avait été envoyé pour le remplacer, tué d'un même coup une heure après. « Les généraux de brigade Compère, Plauzonne, Marion, Huart, ont été tués ; sept ou huit généraux ont été blessés,...