Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 21la Société littéraire-typographique, 1784 |
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Page 9
... ennemis , crie au maréchal : ,, Vous êtes perdu , fi vous ,, ne changez votre ordre de bataille . Dégarniffez ,, votre gauche , pour vous oppofer à l'ennemi à nombre égal . Faites rapprocher vos lignes davan- tage . Si vous tardez un ...
... ennemis , crie au maréchal : ,, Vous êtes perdu , fi vous ,, ne changez votre ordre de bataille . Dégarniffez ,, votre gauche , pour vous oppofer à l'ennemi à nombre égal . Faites rapprocher vos lignes davan- tage . Si vous tardez un ...
Page 15
... ennemis paraiffaient vouloir former à la fois plufieurs attaques . Leurs mouvemens jetaient l'incer- titude dans le camp des Français . Le duc d'Orléans voulait une chofe , Marfin et la Feuillade une autre : on difputait , on ne ...
... ennemis paraiffaient vouloir former à la fois plufieurs attaques . Leurs mouvemens jetaient l'incer- titude dans le camp des Français . Le duc d'Orléans voulait une chofe , Marfin et la Feuillade une autre : on difputait , on ne ...
Page 17
... ennemis de la France fem- blaient vers la fin de 1706 et au commencement de 1707 , acquérir des forces nouvelles , et la France toucher à fa ruine . Elle était preffée de tous côtés , et fur mer et fur terre . De ces flottes formidables ...
... ennemis de la France fem- blaient vers la fin de 1706 et au commencement de 1707 , acquérir des forces nouvelles , et la France toucher à fa ruine . Elle était preffée de tous côtés , et fur mer et fur terre . De ces flottes formidables ...
Page 19
... ennemis , confervèrent la couronne à Philippe V. Les peuples aimaient dans Philippe le choix qu'ils avaient fait , et dans fa femme , fille du duc de Savoie , le foin qu'elle prenait de leur plaire , une intrépidité au - dessus de fon ...
... ennemis , confervèrent la couronne à Philippe V. Les peuples aimaient dans Philippe le choix qu'ils avaient fait , et dans fa femme , fille du duc de Savoie , le foin qu'elle prenait de leur plaire , une intrépidité au - dessus de fon ...
Page 23
... ennemis pénétraient eft fec , ftérile , hériffé de montagnes ; les vivres rares ; la retraite difficile . Les maladies , qui défolèrent l'armée ennemie , combattirent encore pour Louis XIV . Le fiége de Toulon fut levé , et La Provence ...
... ennemis pénétraient eft fec , ftérile , hériffé de montagnes ; les vivres rares ; la retraite difficile . Les maladies , qui défolèrent l'armée ennemie , combattirent encore pour Louis XIV . Le fiége de Toulon fut levé , et La Provence ...
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Common terms and phrases
accufations affez affuré ainfi auffi avaient c'eft C'eſt C'était calviniftes cardinal cardinal de Noailles cardinal de Richelieu caufe cents chofes Clément XI clergé Colbert commerce compofée comte confeil conferver confidérables d'Eſpagne difait difputes duc d'Orléans duc de Marlborough ducheffe efprit enfans enfuite ennemis eſpèce eſt évêques fans favait fcience fecours fecret fefait femblait fentait fervir feul fiècle fiége foit foldats font fous fouvent fouverain fuccès fuivi fujets fur-tout goût guerre Hollande hommes Innocent XII janféniftes jéfuites jufqu'à l'efprit l'Eglife l'Etat l'Europe laiffa long-temps Louis XIV Louvois madame de Maintenon mademoiſelle maifon maréchal de Villars Marlborough mémoires mille millions miniftre miniſtère Mme de Maintenon Montefpan mort n'avait n'eft n'était nation néceffaire paffer paix pape penfer perfonne peuple Philippe philofophie plufieurs préfent prefque prince Eugène princeffe propofa propofitions puiffance reffource refte reine religion Rome royaume s'eft Siècle de Louis ufage vaiffeaux Verſailles دو
Popular passages
Page 270 - Quiconque approfondit la théorie des arts purement de génie, doit, s'il a quelque génie luimême, savoir que ces premières beautés, ces grands traits naturels qui appartiennent à ces arts, et qui conviennent à la nation pour laquelle on travaille, sont en petit nombre.
Page 253 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 91 - Je ne sais pas lire, répondit le pêcheur. Je viens de la trouver, personne ne l'a vue. » Ce paysan fut retenu jusqu'à ce que le gouverneur fût bien informé qu'il n'avait jamais lu, et que l'assiette n'avait été vue de personne. « Allez, lui dit-il, vous êtes bien heureux de ne savoir pas lire.
Page 253 - C'est moins un livre que des matériaux pour orner un livre. On lut avidement ce petit recueil; il accoutuma à penser, et à renfermer ses pensées dans un tour vif, précis et délicat. C'était un mérite que personne n'avait eu avant lui en Europe depuis la renaissance des . lettres; mais le premier livre de génie qu'on vit en prose fut le recueil des Lettres provinciales en 1654.
Page 271 - Il n'ya dans la nature humaine qu'une douzaine tout au plus de caractères vraiment comiques et marqués de grands traits.
Page 166 - VOUS recommande plus fortement est de n'oublier jamais les obligations que vous avez à Dieu. Souvenez-vous que vous lui devez tout ce que vous êtes. Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. J'ai trop aimé la guerre; ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
Page 171 - Rien n'est si dangereux que la faiblesse, de quelque nature qu'elle soit. Pour commander aux autres, il faut s'élever au-dessus d'eux ; et après avoir entendu ce qui vient de tous les endroits, on...
Page 102 - V. eft aiFez déiîgné dans ces deux vers de la Bérénice de Racine. Qu'en quelque obfcurité que le ciel l'eût fait naître , Le monde , en le voyant, eût reconnu fon maître.
Page 90 - Bastille, où il fut logé aussi bien qu'on peut l'être dans le château. On ne lui refusait rien de ce qu'il demandait. Son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles. Il jouait de la guitare.
Page 170 - C'est ce qui m'a fait réussir souvent dans ce que j'ai entrepris. Les fautes que j'ai faites, et qui m'ont donné des peines infinies, ont été par complaisance, et pour me laisser aller trop nonchalamment aux avis des autres. Rien n'est si dangereux que la faiblesse, de quelque nature qu'elle soit.