Poétique française1804 |
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Page 36
... épique . Quand il offre aux yeux un spectacle , en introduisant des personnages qui parlent et qui agis- sent , c'est la poésie dramatique . Quand , pénétré d'un sentiment , agité d'une passion , il s'y livre tout entier , et les ...
... épique . Quand il offre aux yeux un spectacle , en introduisant des personnages qui parlent et qui agis- sent , c'est la poésie dramatique . Quand , pénétré d'un sentiment , agité d'une passion , il s'y livre tout entier , et les ...
Page 37
... épique pré- sente , en bien des endroits , ses person- nages qui parlent et qui agissent . Il n'est pas rare que le poète dramatique raconte . Le poète lyrique même le fait quelquefois , en se soutenant toujours dans son essor . La ...
... épique pré- sente , en bien des endroits , ses person- nages qui parlent et qui agissent . Il n'est pas rare que le poète dramatique raconte . Le poète lyrique même le fait quelquefois , en se soutenant toujours dans son essor . La ...
Page 80
... sujet d'une églogue ou d'une idylle . Mais voici ce qui peut distinguer l'une de l'autre . L'églogue parmi nous a le plus ordi- nairement une action , et peut avoir la tinguer forme dramatique ou la forme épique , Ce qui 80 POÉTIQUE.
... sujet d'une églogue ou d'une idylle . Mais voici ce qui peut distinguer l'une de l'autre . L'églogue parmi nous a le plus ordi- nairement une action , et peut avoir la tinguer forme dramatique ou la forme épique , Ce qui 80 POÉTIQUE.
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Louis Domairon. tinguer forme dramatique ou la forme épique , Ce qui c'est - à - dire , être en dialogue ou en ré- peut dis- cit . J'ai dit le plus ordinairement , parce rEglogne que nous avons des églogues , soit de de l'idyl- Virgile ...
Louis Domairon. tinguer forme dramatique ou la forme épique , Ce qui c'est - à - dire , être en dialogue ou en ré- peut dis- cit . J'ai dit le plus ordinairement , parce rEglogne que nous avons des églogues , soit de de l'idyl- Virgile ...
Page 148
... épique . Ce n'est pas seulement parce que ce sont des ou- vrages de longue haleine ; c'est encore parce qu'ils exigent , plus que tous les autres , un génie riche , étendu , ferme , et qui ait assez de vigueur pour se sou- tenir 148 ...
... épique . Ce n'est pas seulement parce que ce sont des ou- vrages de longue haleine ; c'est encore parce qu'ils exigent , plus que tous les autres , un génie riche , étendu , ferme , et qui ait assez de vigueur pour se sou- tenir 148 ...
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Common terms and phrases
Achille acte action admirable Agamemnon Andromaque Art Poét Athalie auteur avant J. C. avoit beau beauté belle Boileau Britannicus Brontin Calchas carac caractère chant chose Cinna cœur comédie comique connoissance connoître Corneille dénouement desirs dialogue Dieu dieux différens discours doivent Enée épique espèce étoit fable foiblesse génie genre de poésie gloire goût graces Grecs héros Homère homme incidens Iphigénie Isabelle J. B. Rousseau Junon l'action dramatique l'ame l'amour l'apologue l'art l'épopée l'Iliade l'ode Léonor lyrique malheureux ment moeurs Molière morale nature objets Oronte ouvrage paroît passion peindre peint peinture personnages Phèdre pièces de théâtre poème poète poète doit préceptes premier Racine récit ridicule rimes Rutules satyre scène sentimens sentiment seroit seul Sganarelle sions sonnages sort spectateur style sublime sujet sur-tout syllabe taille-douce tion traduction tragédie tragédie lyrique tragique traits triomphe d'Alcide Troyens Turnus Valère vertu veut vices Virgile Voilà le noeud voit Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 14 - L'été n'a point de feux, l'hiver n'a point de glace. J'entends à son seul nom tous mes sujets frémir. En vain deux fois la paix a voulu l'endormir : Loin de moi son courage entraîné par la gloire Ne se plaît qu'à courir de victoire en victoire. Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu'il me fait tous les jours.
Page 142 - Sa voix redoutable Trouble les enfers ; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre l'univers ; La terre tremblante Frémit de terreur ; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Page 348 - ... car il ne s'est pas toujours assujetti au goût des Grecs et à leur grande simplicité : il a aimé au contraire à charger la scène d'événements dont il est presque toujours sorti avec succès ; admirable surtout...
Page 102 - Venez de mille aïeux; et si ce n'est assez, Feuilletez à loisir tous les siècles passés * : Voyez de quel guerrier il vous plaît de descendre ; Choisissez de César, d'Achille, ou d'Alexandre : En vain un faux censeur voudrait vous démentir. Et si vous n'en sortez, vous en devez sortir.
Page 349 - ... dans la raison est manié par le premier, et par l'autre ce qu'il ya de plus flatteur et de plus délicat dans la passion. Ce sont dans celui-là des maximes, des règles, des préceptes ; et dans celui-ci du goût et des sentiments. L'on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l'on est plus ébranlé et plus attendri à celles de Racine. Corneille est plus moral, Racine plus naturel. Il semble que l'un imite Sophocle, et que l'autre doit plus à Euripide.
Page 129 - Éclaire tous les humains. Environné de lumière, Cet astre ouvre sa carrière Comme un époux glorieux, Qui, dès l'aube matinale, De sa couche nuptiale Sort brillant et radieux. L'univers, à sa présence, Semble sortir du néant. Il prend sa course, il s'avance Comme un superbe géant.
Page 109 - Les soucis dévorants, les regrets, les ennuis , Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure.
Page 349 - Corneille nous assujettit à ses caractères et à ses idées, Racine se conforme aux nôtres; celui-là peint les hommes comme ils devraient être, celui-ci les peint tels qu'ils sont. Il ya plus dans le premier de ce que l'on admire, et de ce que l'on doit même imiter; il ya plus dans le second de ce que l'on reconnaît dans les autres, ou de ce que l'on éprouve dans soi-même.
Page 342 - Théâtre des Grecs par le P. Brumoy, nouvelle édition enrichie de très-belles gravures et augmentée de la traduction entière des pièces grecques dont il n'existe que des extraits dans toutes les éditions précédentes, et de comparaisons, d'observations et de remarques nouvelles, par MM. de Rochefort et Dutheil.
Page 72 - Mais encor ? — Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.