Oeuvres complètes, Volume 201791 |
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... ment qu'il avait défendu étant abbé . Vous trou- verez ce fait dans les mémoires de la fincère madame de Motteville . Il faut obferver que depuis que le cardinal de Richelieu avait introduit à la cour les fpectacles réguliers , qui ont ...
... ment qu'il avait défendu étant abbé . Vous trou- verez ce fait dans les mémoires de la fincère madame de Motteville . Il faut obferver que depuis que le cardinal de Richelieu avait introduit à la cour les fpectacles réguliers , qui ont ...
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... ment de l'opéra en France , fit exécuter dans ce temps - là même à fes dépens , dans fon château de Neubourg , la Toifon d'or de Pierre Corneille , avec des machines . Quinault , jeune et d'une figure agréable , avait pour lui la cour ...
... ment de l'opéra en France , fit exécuter dans ce temps - là même à fes dépens , dans fon château de Neubourg , la Toifon d'or de Pierre Corneille , avec des machines . Quinault , jeune et d'une figure agréable , avait pour lui la cour ...
Page 17
... la vendit que quatorze cents mille francs . Le prix exceffif des places au parlement , fi diminué depuis , prouve quel refte de confide T. 20. Siècle . Tome III . B A ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe- ment même FOUQUET . 17.
... la vendit que quatorze cents mille francs . Le prix exceffif des places au parlement , fi diminué depuis , prouve quel refte de confide T. 20. Siècle . Tome III . B A ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe- ment même FOUQUET . 17.
Page 18
Voltaire. ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe- ment même . Le duc de Guife , grand - chambellan du roi , n'avait vendu cette charge de la couronne au duc de Bouillon que huit cent mille livres . C'était la fronde , c'était la ...
Voltaire. ration ce corps avait confervé dans fon abaiffe- ment même . Le duc de Guife , grand - chambellan du roi , n'avait vendu cette charge de la couronne au duc de Bouillon que huit cent mille livres . C'était la fronde , c'était la ...
Page 21
... ment odieux du chancelier Séguier contre lui , le temps qui éteint l'envie publique et qui infpire la compaffion pour les malheureux , enfin les follici- tations toujours plus vives en faveur d'un infortuné que les manœuvres pour le ...
... ment odieux du chancelier Séguier contre lui , le temps qui éteint l'envie publique et qui infpire la compaffion pour les malheureux , enfin les follici- tations toujours plus vives en faveur d'un infortuné que les manœuvres pour le ...
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Common terms and phrases
accufations affez affuré ainfi arts auffi avaient c'eft c'eſt C'était calviniftes Cambrai cardinal de Noailles cardinal de Richelieu cardinal Mazarin caufe cents chofes Clément XI clergé Colbert commerce compofa condamner confeil conferver confidérables cour difait difputes donner duc d'Orléans ducheffe efprit enfans enfuite eſt évêques fages faibleffe fans favait fcience fecond fecret fefait femblait Fénélon fentait fervir feul fiècle figner fociété foit font fouvent fouverain fubfifte fuivant fujets fur-tout goût guerre Henri IV Hollande homme huguenots inftruit Innocent XII janféniftes jéfuites jufqu'à l'abbé l'archevêque l'efprit l'Eglife l'Etat l'Europe l'hiftoire laiffa lettres livre long-temps Louis XIV Louvois madame de Maintenon mademoiſelle maifon maréchal mémoires ment mille millions miniftre Mme de Maintenon Montefpan mort n'avait n'eft n'était nation néceffaire paffé pape penfer perfonne peuple philofophie plaifirs plufieurs prefque prifon prince princeffe propofitions proteftans puiffance refte religion Rome royaume s'eft Séron ufage دو دو
Popular passages
Page 101 - il a fallu que je lui ordonne de se retirer, parce que tout ce « qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on « doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.
Page 190 - Juifs avec celle des autres nations a trouvé des contradicteurs chez les savants, son style n'a trouvé que des admirateurs. On fut étonné de cette force majestueuse dont il décrit les mœurs, le gouvernement, l'accroissement et la chute des grands empires , et de ces traits rapides d'une vérité énergique dont il peint et dont il juge les nations.
Page 197 - C'est le privilège du vrai génie, et surtout du génie qui ouvre une carrière, de faire impunément de grandes fautes.
Page 186 - Un des ouvrages qui contribuèrent le plus à former le goût de la nation, et à lui donner un esprit de justesse et de précision, fut le petit recueil des Maximes de François, duc de La Rochefoucauld.
Page 187 - C'est moins un livre que des matériaux pour orner un livre. On lut avidement ce petit recueil; il accoutuma à penser, et à renfermer ses pensées dans un tour vif, précis et délicat. C'était un mérite que personne n'avait eu avant lui en Europe depuis la renaissance des . lettres; mais le premier livre de génie qu'on vit en prose fut le recueil des Lettres provinciales en 1654.
Page 63 - L'aventure infortunée d'une fille d'honneur de la reine, en 1673, donna lieu à un nouvel établissement. Ce malheur est connu par le sonnet de l'Avorton, dont les vers ont été tant cités : Toi que l'amour fit par un crime, Et que l'honneur défait par un crime à son tour, Funeste ouvrage de l'amour, De l'honneur funeste victime...
Page 204 - Quiconque approfondit la théorie des arts purement de génie, doit, s'il a quelque génie luimême, savoir que ces premières beautés, ces grands traits naturels qui appartiennent à ces arts, et qui conviennent à la nation pour laquelle on travaille, sont en petit nombre. Les sujets et les embellissements propres aux sujets ont des bornes bien plus resserrées qu'on ne pense.
Page 94 - VOUS recommande plus fortement est de n'oublier jamais les obligations que vous avez à Dieu. Souvenez-vous que vous lui devez tout ce que vous êtes. Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. J'ai trop aimé la guerre; ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
Page 334 - Jeune, j'étais trop sage, Et voulais trop savoir; Je ne veux en partage Que badinage, Et touche au dernier âge Sans rien prévoir.
Page 13 - Provence, un prisonnier inconnu, d'une taille au-dessus de l'ordinaire, jeune, et de la figure la plus belle et la plus noble. Ce prisonnier, dans la route, portait un masque dont la mentonnière avait des ressorts d'acier, qui lui laissaient la liberté de manger avec le masque sur son visage.