Revue des deux mondes, Volume 8François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1875 |
From inside the book
Results 1-5 of 83
Page 7
... rien cassé en route ? - Ambroise Yvoine ! m'écriai - je en levant la tête , comment , c'est vous ? .. - C'est moi ... rien ; vous dirigerez , Yvoine , et nous allons en causer en déjeunant ensemble . Je le pris sous le bras , et , en le ...
... rien cassé en route ? - Ambroise Yvoine ! m'écriai - je en levant la tête , comment , c'est vous ? .. - C'est moi ... rien ; vous dirigerez , Yvoine , et nous allons en causer en déjeunant ensemble . Je le pris sous le bras , et , en le ...
Page 9
... rien ne bougeât ; mais quand il appela Flamarande , Flamarande , Flamarande , à la pre- mière fois le mort ouvrit les yeux , à la seconde il regarda son père d'un air de reproche , à la troisième il sourit en manière de pardon ; puis il ...
... rien ne bougeât ; mais quand il appela Flamarande , Flamarande , Flamarande , à la pre- mière fois le mort ouvrit les yeux , à la seconde il regarda son père d'un air de reproche , à la troisième il sourit en manière de pardon ; puis il ...
Page 11
... rien qui pût m'ex- pliquer ce qu'il était devenu . Je me demandai si je n'avais pas été le jouet d'une hallucination . Pour moi , le comte de Flamarande était alors un exalté très près de la démence , et je songeais avec terreur que cet ...
... rien qui pût m'ex- pliquer ce qu'il était devenu . Je me demandai si je n'avais pas été le jouet d'une hallucination . Pour moi , le comte de Flamarande était alors un exalté très près de la démence , et je songeais avec terreur que cet ...
Page 13
... rien , car durant qua- rante - huit heures je perdis la notion du lieu où j'étais et des per- sonnes qui m'entouraient . Quand je revins à moi , le jour paraissait à peine ; je regardai au- tour de moi avec étonnement , surpris de ...
... rien , car durant qua- rante - huit heures je perdis la notion du lieu où j'étais et des per- sonnes qui m'entouraient . Quand je revins à moi , le jour paraissait à peine ; je regardai au- tour de moi avec étonnement , surpris de ...
Page 15
... rien . Il était bon et cédait tout aux fillettes de la maison ; mais il paraissait n'aimer que la plus petite et ne se laissait entraîner à aucune partie bruyante . Recueilli et comme rentré en lui - même , il ne demandait jamais rien ...
... rien . Il était bon et cédait tout aux fillettes de la maison ; mais il paraissait n'aimer que la plus petite et ne se laissait entraîner à aucune partie bruyante . Recueilli et comme rentré en lui - même , il ne demandait jamais rien ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Ambroise André Chénier anglais assez aujourd'hui avaient Bucharest Buenos-Ayres c'était canal cause Charles chemins de fer Chénier Chicago chose cœur comte comtesse Danube dernier devant Dickens dire donner enfans Espérance esprit États-Unis eût événemens famille Farragut femme fils fleuve force Fouché Gaston général général Trochu Ghadamez glaciers gouvernement guerre Hawkins heures hommes Irlande j'ai j'avais j'étais jamais jour jusqu'à l'Angleterre l'empereur laisser Leyde liberté lois lord Russell lutte madame main Mandaille ment mètres Michelin Mississipi Mme de Flamarande Mme de Montesparre Moldavie monde moraine mycélium n'avait n'était nationale Nouvelle-Orléans parler passer passion pays pendant pensée père personne peuple peut-être philosophie Ploesti politique porte pouvait premier presque qu'un question raison Rémusat reste rien Roger Roumanie Russie s'est s'était sais Salcède savait science Ségur semble sentiment serait seul siècle sociale société sorte spores Stuart Mill surtout terre tion Touaregs trouve truffe Valachie vérité voie vrai yeux
Popular passages
Page 705 - Physiologiquement, ils sont la lente succession des accidents nerveux et sanguins qui se déclarent dans une race, à la suite d'une première lésion organique, et qui déterminent selon les milieux, chez chacun des individus de cette race, les sentiments, les désirs, les passions, toutes les manifestations humaines, naturelles et instinctives, dont les produits prennent les noms convenus de vertus et de vices.
Page 706 - Ces caractères, dit-on, sont naturels: ainsi , par cette règle, on occupera bientôt tout l'amphithéâtre d'un laquais qui siffle, d'un malade dans sa garderobe, d'un homme ivre qui dort ou qui vomit : y at-il rien de plus naturel? C'est...
Page 835 - Paros pour placer ton image Auprès d'Harmodius, auprès de son ami ; Et des chœurs sur ta tombe , en une sainte ivresse , Chanteraient Némésis , la tardive déesse , Qui frappe le méchant sur son trône endormi.
Page 820 - Sauveur est employé dans la gendarmerie nationale, mais je ne sais ce qu'il pense ni s'il pense. Constantin trouve qu'on n'a rien changé, et que, quoiqu'il n'y ait plus de...
Page 834 - J'aime ; je vis. Heureux rivage ! Tu conserves sa noble image , Son nom , qu'à tes forêts j'ose apprendre le soir , Quand , l'âme doucement émue , J'y reviens méditer l'instant où je l'ai vue , Et l'instant où je dois la voir.
Page 815 - ... ennemis de tout ce qui peut avoir l'air de violence ; se reposant sur la bonté de leur cause ; espérant trop des hommes, parce qu'ils savent que, tôt ou tard, ils reviennent à la raison; espérant trop du temps, parce qu'ils savent que, tôt ou tard, il leur fait justice, perdent les moments favorables, laissent dégénérer leur prudence en timidité, se découragent, composent avec l'avenir, et, enveloppés de leur conscience, finissent par s'endormir dans une bonne volonté immobile et...
Page 823 - Et quelques centaines d'oisifs réunis dans un jardin ou dans un spectacle, ou quelques troupes de bandits qui pillent des boutiques, sont effrontément appelés le peuple; et les plus...
Page 811 - LORSQU'UNE grande nation, après avoir vieilli dans l'erreur et dans l'insouciance, lasse enfin de malheurs et d'oppression, se réveille de cette longue léthargie, et, par une insurrection juste et légitime, rentre dans tous ses droits et renverse l'ordre de choses qui les violait tous, elle ne peut en un instant se trouver établie et calme dans le nouvel état qui doit succéder à l'ancien. La forte impulsion donnée à une si pesante masse la fait vaciller quelque temps avant de pouvoir prendre...
Page 812 - N'est-ce pas une certaine raison générale, une certaine sagesse pratique et comme de routine, à peu près également départie...
Page 469 - ART. 2. — La population d'un territoire non occupé qui, à l'approche de l'ennemi, prend spontanément les armes pour combattre les troupes d'invasion, sans avoir eu le temps de s'organiser conformément à l'article premier, sera considérée comme belligérante si elle porte les armes ouvertement et si elle respecte les lois et coutumes de la guerre.