Revue des deux mondes, Volume 8François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1875 |
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Page 8
... fils du seigneur de Mandaille , et , pour le prouver , il a mis un crucifix sur la poitrine de l'enfant endormi en disant : « Quand je nommerai ton père , au nom du Sauveur , je t'adjure d'ouvrir les yeux . » Alors il s'est mis à crier ...
... fils du seigneur de Mandaille , et , pour le prouver , il a mis un crucifix sur la poitrine de l'enfant endormi en disant : « Quand je nommerai ton père , au nom du Sauveur , je t'adjure d'ouvrir les yeux . » Alors il s'est mis à crier ...
Page 9
... fils qu'après la mort , et jura à son mari qu'il lui avait fait insulte , car elle n'avait point aimé le sire de Mandaille . Alors le sire de Flamarande voulut renouveler sur le mort l'épreuve qu'il avait faite sur le naissant . Il lui ...
... fils qu'après la mort , et jura à son mari qu'il lui avait fait insulte , car elle n'avait point aimé le sire de Mandaille . Alors le sire de Flamarande voulut renouveler sur le mort l'épreuve qu'il avait faite sur le naissant . Il lui ...
Page 10
... fils qu'il répudiait n'était - il pas comme un besoin de recommencer la légende ? Attendrait - il que Gaston fût mort pour tenter la seconde épreuve ? Mais cette légende existait - elle ? n'était - ce pas un autre genre d'épreuve que me ...
... fils qu'il répudiait n'était - il pas comme un besoin de recommencer la légende ? Attendrait - il que Gaston fût mort pour tenter la seconde épreuve ? Mais cette légende existait - elle ? n'était - ce pas un autre genre d'épreuve que me ...
Page 14
... fils aîné . Je lui écrivis même beaucoup de lettres , que je brûlai toutes , retenu par la crainte qu'elles ne fussent surprises par son mari . D'ailleurs cela ne pouvait pas s'expliquer par écrit . Une femme si pure et si noble ...
... fils aîné . Je lui écrivis même beaucoup de lettres , que je brûlai toutes , retenu par la crainte qu'elles ne fussent surprises par son mari . D'ailleurs cela ne pouvait pas s'expliquer par écrit . Une femme si pure et si noble ...
Page 16
... fils superbe ; c'était tout ce qu'il avait ambitionné . Roger était plus gâté , plus diable , plus séduisant que jamais . Madame se portait très bien aussi , et je crois qu'elle avait embelli encore . J'avais beaucoup redouté de la ...
... fils superbe ; c'était tout ce qu'il avait ambitionné . Roger était plus gâté , plus diable , plus séduisant que jamais . Madame se portait très bien aussi , et je crois qu'elle avait embelli encore . J'avais beaucoup redouté de la ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 705 - Physiologiquement, ils sont la lente succession des accidents nerveux et sanguins qui se déclarent dans une race, à la suite d'une première lésion organique, et qui déterminent selon les milieux, chez chacun des individus de cette race, les sentiments, les désirs, les passions, toutes les manifestations humaines, naturelles et instinctives, dont les produits prennent les noms convenus de vertus et de vices.
Page 706 - Ces caractères, dit-on, sont naturels: ainsi , par cette règle, on occupera bientôt tout l'amphithéâtre d'un laquais qui siffle, d'un malade dans sa garderobe, d'un homme ivre qui dort ou qui vomit : y at-il rien de plus naturel? C'est...
Page 835 - Paros pour placer ton image Auprès d'Harmodius, auprès de son ami ; Et des chœurs sur ta tombe , en une sainte ivresse , Chanteraient Némésis , la tardive déesse , Qui frappe le méchant sur son trône endormi.
Page 820 - Sauveur est employé dans la gendarmerie nationale, mais je ne sais ce qu'il pense ni s'il pense. Constantin trouve qu'on n'a rien changé, et que, quoiqu'il n'y ait plus de...
Page 834 - J'aime ; je vis. Heureux rivage ! Tu conserves sa noble image , Son nom , qu'à tes forêts j'ose apprendre le soir , Quand , l'âme doucement émue , J'y reviens méditer l'instant où je l'ai vue , Et l'instant où je dois la voir.
Page 815 - ... ennemis de tout ce qui peut avoir l'air de violence ; se reposant sur la bonté de leur cause ; espérant trop des hommes, parce qu'ils savent que, tôt ou tard, ils reviennent à la raison; espérant trop du temps, parce qu'ils savent que, tôt ou tard, il leur fait justice, perdent les moments favorables, laissent dégénérer leur prudence en timidité, se découragent, composent avec l'avenir, et, enveloppés de leur conscience, finissent par s'endormir dans une bonne volonté immobile et...
Page 823 - Et quelques centaines d'oisifs réunis dans un jardin ou dans un spectacle, ou quelques troupes de bandits qui pillent des boutiques, sont effrontément appelés le peuple; et les plus...
Page 811 - LORSQU'UNE grande nation, après avoir vieilli dans l'erreur et dans l'insouciance, lasse enfin de malheurs et d'oppression, se réveille de cette longue léthargie, et, par une insurrection juste et légitime, rentre dans tous ses droits et renverse l'ordre de choses qui les violait tous, elle ne peut en un instant se trouver établie et calme dans le nouvel état qui doit succéder à l'ancien. La forte impulsion donnée à une si pesante masse la fait vaciller quelque temps avant de pouvoir prendre...
Page 812 - N'est-ce pas une certaine raison générale, une certaine sagesse pratique et comme de routine, à peu près également départie...
Page 469 - ART. 2. — La population d'un territoire non occupé qui, à l'approche de l'ennemi, prend spontanément les armes pour combattre les troupes d'invasion, sans avoir eu le temps de s'organiser conformément à l'article premier, sera considérée comme belligérante si elle porte les armes ouvertement et si elle respecte les lois et coutumes de la guerre.