Nouveaux proverbes dramatiques, Volume 1Le Normant, 1811 |
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aime Allons amour avez avoit BAILLIVE bonheur c'étoit Carmontelle chère mère CLIFORT connois consentir crois D'ESCABIOUS DESAIRS DESGRAVIERS dire êtes étoit femme fille FRANCUEIL GRIS GUILLAUME GUILLEMAIN homme Ier CHIRURGIEN j'ai j'en jamais JAVOTTE JEAN JEROME LABROCHE laissez-moi LENOIR long-temps Madame BOURDIN Madame DE FRANMONT Madame DE RAISIER Madame DE SAINT-OUEN Madame DELAGARDE Madame DELVIRE Madame DERSON Madame DUBREUIL Madame GREMOND madame la Comtesse Madame MIGNONETTE Madame PONTEAU Madame VALSON Madame VALVIEUX Mademoiselle ADELAIDE Mademoiselle AGATHE Mademoiselle BERNILLE Mademoiselle DANTIME Mademoiselle DE FRANMONT Mademoiselle DE SOURDAN Mademoiselle DELAGARDE Mademoiselle QUENTIN MARIANNE Mère ROGOME Messieurs mieux du monde monsieur de Franmont monsieur le bailli monsieur le Commissaire oncle ouac parler PARLET plaisir PROMENEUR PROVERBE Qu'est-ce RIAL rien RONCEVAL SAINT-ANÈME SAINT-DAMASE SAINT-FIRMIN Père SAINT-LAMBERT SAINT-LEGER SAINT-OPTAT SCÈNE IRE SCÈNE VII SCÈNE XI sera seroit Sûrement SUZETTE VALET DE CHAMBRE VALFORT veux voilà voudrois VOURTIL vrai
Popular passages
Page vii - Il n'y faut point chercher un nœud bien formé, ni en conséquence un dénoûment d'effet. Ce n'est point une combinaison dramatique que Carmontelle étale sous vos yeux, c'est un coin de la société qu'il vous fait remarquer, c'est une aventure, une conversation de salon, de boudoir, de boutique, de spectacle, de promenade ou de tout autre lieu public, à laquelle il vous fait assister. Ce qu'il a vu et entendu, il le répète avec la fidélité d'un miroir et d'un écho.
Page 279 - Que tu es enfant ! Je crois que ce que nous avons de mieux à faire, c'est de clore ce chapitre irrévocablement, et à l'avenir de n'en parler ni l'un ni l'autre. - Je le souhaite du moins. Du reste, sois tranquille. Je suis peu disposé à poursuivre cette connaissance. Je la laisserai tomber dans l'eau.
Page ix - Pendant ces cinq mois, son secret fut livré il des centaines de personnes de tout sexe, de tout âge et de toute condition...
Page 363 - Hâtez- vous d'en faire usage, Un seul jour les endommage. Je vends des bouquets , etc. C'est l'image d'un objet charmant; C'est l'hommage d'un tendre amant.
Page 367 - Ceux de Pantin, de Saint-Ouen, de Saint-Cloud Dansent bien mieux que ceux de La Villette. Ceux de Pantin, de Saint-Ouen, de Saint-Cloud Dansent bien mieux que tous ceux de chez nous.
Page 369 - Ah, maman , que je l'ai échappé belle ! Ce matin Colin , Comme un lutin, dans ma ruelle, Ah , maman , que je l'ai échappé belle 1 J'ai cru de mon cœur Qu'il seroit le vainqueur.
Page vii - ... aucun art dans l'imitateur, et par là il semble perdre tout le mérite de ce qui procure tout son succès. C'est ainsi à peu près que nous nous dispensons d'admirer l'exactitude nécessaire et absolue avec laquelle les objets se retracent euxmêmes dans la chambre obscure, tandis que nous réservons toute notre estime, tout notre enthousiasme pour l'image plus ou moins imparfaite de ces objets, telle que la main du peintre la représente dans un tableau.
Page 168 - Voyez ces marchands, ils ne renchérissent tout que pour prendre la place des financiers et des grands seigneurs, en entretenant des filles d'Opéra.
Page 16 - Molière , s'il étoit venu jouer la comédie dans ce village-ci , je l'aurois fait mettre au cachot. LA BAILLIVE. Pourquoi donc ? LE BAILLI. Parce qu'il a joué un très honnête homme, que je respecte beaucoup. LA BAILLIVE. Monsieur Harpagon , je parie ? LE BAILLI. Je ne dis pas qui c'est.
Page xi - Sur la fin de sa vie, les directeurs de deux de nos théâtres lui avoient accordé ses entrées , moins comme une faveur sollicitée par ses longs travaux dramatiques , que comme un droit bien acquis par cette part qu'il avoit prise, sans le savoir, à la composition de beaucoup d'ouvrages.