Répertoire de la littérature ancienne et moderne, Volume 22Chez Castel de Courval, 1826 |
From inside the book
Results 1-5 of 34
Page 20
... parole ; toi , le « père de l'éloquence et des lettres latines ; toi enfin , « pour me servir des expressions de César , autrefois « ton ennemi , toi qui remportas le plus beau « de tous les triomphes , puisqu'il est plus glorieux << d ...
... parole ; toi , le « père de l'éloquence et des lettres latines ; toi enfin , « pour me servir des expressions de César , autrefois « ton ennemi , toi qui remportas le plus beau « de tous les triomphes , puisqu'il est plus glorieux << d ...
Page 35
... parole à < « < un prince toujours caché dans l'ombre , et fuyant les regards , et qui ne sortait de sa profonde solitu- « de que pour faire de Rome un désert . Cependant « dans ces murs même et dans ces retraites profon- « des ...
... parole à < « < un prince toujours caché dans l'ombre , et fuyant les regards , et qui ne sortait de sa profonde solitu- « de que pour faire de Rome un désert . Cependant « dans ces murs même et dans ces retraites profon- « des ...
Page 67
... parole qui me remplit tout à la fois d'admiration « et de douleur . Je ne cesse de penser quel homme , quel ami j'ai perdu . Il avait passé soixante et sept « « « < « « < << ans , terme assez long , même pour les hommes ro ...
... parole qui me remplit tout à la fois d'admiration « et de douleur . Je ne cesse de penser quel homme , quel ami j'ai perdu . Il avait passé soixante et sept « « « < « « < << ans , terme assez long , même pour les hommes ro ...
Page 109
... vient le délier . Mais devinez quel fut sa première parole pendant qu'on le déliait ? Et Ni- « cias , sait - on comment il a péri ? C'est ainsi qu'il « << était corrigé , tant le babil du nouvelliste est PLUTARQUE . 109.
... vient le délier . Mais devinez quel fut sa première parole pendant qu'on le déliait ? Et Ni- « cias , sait - on comment il a péri ? C'est ainsi qu'il « << était corrigé , tant le babil du nouvelliste est PLUTARQUE . 109.
Page 121
... parole appliquée au chant ait observé la cadence , soit par un nombre de syllabes égal au nombre des sons de l'air , et dont l'air décidait lui - même ou la vitesse ou la lenteur ( ce fut la poésie rhythmique ) ; soit par un nombre de ...
... parole appliquée au chant ait observé la cadence , soit par un nombre de syllabes égal au nombre des sons de l'air , et dont l'air décidait lui - même ou la vitesse ou la lenteur ( ce fut la poésie rhythmique ) ; soit par un nombre de ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme Aricie Aristote arts assez avez beau beauté Bélinde caractère cardinal de Polignac chant chose Cicéron ciel cœur comédie comique diction Dieu dire discours doit Domitien donner Épaminondas épique esprit eût fable génie genre gloire goût grace Grecs héros heureux Homère hommes idées j'ai jamais juger l'abbé Poulle l'âme l'art l'auteur l'autre l'éloquence l'esprit l'histoire l'homme l'orateur laisse langue Laurent de Médicis Littérature long-temps lui-même malheur Marmontel Massillon ment mérite mieux modèle mœurs monde morale morceau mort nature naturel orateur oratoire ouvrage parle parole passer passion peindre pensée père peuple Phèdre philosophe plaisir plaisirs Pline Plutarque poème poésie poète poétique Poinsinet Polybe Pont-de-Veyle Pope Pradon prédicateur premier presque prince prologue Properce prosodie qu'un raison Régulus religion ridicule rien Romains Rome s'il satire semble sentir serait sermon seul siècle sorte souvent style sublime sujet sur-tout talent théâtre tion tragédie traits Trajan Umbriel vérité vertu voilà Voltaire vrai XXII
Popular passages
Page 503 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 219 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 299 - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable, hypocrite raffiné autant qu'habile politique, capable de tout entreprendre et de tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre, qui ne laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance ; mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées ; enfin, un de ces esprits remuants et audacieux, qui semblent être...
Page 275 - Des veines d'un caillou qu'il frappe au même instant, II fait jaillir un feu qui pétille en sortant : Et bientôt, au brasier d'une mèche enflammée Montre, à l'aide du soufre, une cire allumée. Cet astre tremblotant, dont le jour les conduit, Est pour eux un soleil au milieu de la nuit.
Page 503 - Pourvu qu'à la cuisine elle ne manque pas ? J'aime bien mieux, pour moi, qu'en épluchant ses herbes, Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou méchant mot, Que de brûler ma viande ou saler trop mon pot.
Page 304 - Elle avait une langueur dans les manières, qui touchait plus que le brillant de celles mêmes qui étaient plus belles. Elle en avait une, même dans l'esprit, qui avait ses charmes, parce qu'elle avait des réveils lumineux et surprenants.
Page 93 - Il a une grâce inimitable à peindre les grands hommes dans les petites choses, et il eSt si heureux dans le choix de ses traits que souvent un mot, un sourire, un geSte lui suffit pour caractériser son héros.
Page 188 - Jamais aucune main sur la corde sonore Ne guida dans ses jeux ma main novice encore ; L'homme n'enseigne pas ce qu'inspire le ciel : Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente , L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante , L'abeille à composer son miel.
Page 302 - L'un paraît agir par des réflexions profondes, et l'autre par de soudaines illuminations; celui-ci par conséquent plus vif, mais sans que son feu eût rien de précipité; celui-là, d'un air plus froid sans jamais rien avoir de lent, plus hardi à faire qu'à parler, résolu et déterminé au dedans lors même qu'il paraissait embarrassé au dehors.
Page 222 - On dirait que pour plaire, instruit par la nature, Homère ait à Vénus dérobé sa ceinture. Son livre est d'agréments un fertile trésor : Tout ce qu'il a touché se convertit en or, Tout reçoit dans ses mains une nouvelle grâce : Partout il divertit et jamais il ne lasse.