Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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... n'était d'au- cune utilité , et qu'un chargé d'affaires serait suffi- sant pour faire celles du roi . Voyant l'approbation M. Rouillé donnait à cette idée , il proposa son neveu qui fut accepté . que M. de Vergennes partit pour ...
... n'était d'au- cune utilité , et qu'un chargé d'affaires serait suffi- sant pour faire celles du roi . Voyant l'approbation M. Rouillé donnait à cette idée , il proposa son neveu qui fut accepté . que M. de Vergennes partit pour ...
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... n'était plus avec cette bienveillance qui avait occasioné tant de jalousie . Cette nuance n'échappa point aux regards curieux et pénétrans de la cour ; mes amis me fai- saient des questions . Ce n'était plus le même empres- sement de ...
... n'était plus avec cette bienveillance qui avait occasioné tant de jalousie . Cette nuance n'échappa point aux regards curieux et pénétrans de la cour ; mes amis me fai- saient des questions . Ce n'était plus le même empres- sement de ...
Page 28
... n'était qu'un vieux moine défroqué déplacé à la cour . Obligé de respecter les vices militaires français , il appliqua à l'armée la partie de son système qui la regardait ; il réforma les inspecteurs , bons partout , et dont on ne peut ...
... n'était qu'un vieux moine défroqué déplacé à la cour . Obligé de respecter les vices militaires français , il appliqua à l'armée la partie de son système qui la regardait ; il réforma les inspecteurs , bons partout , et dont on ne peut ...
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... n'était pas de forcer la main à M. de Saint - Germaiu pour m'employer , ne me souciant point du tout d'avoir des détails avec un ministre comme celui- là ; mais que , connaissant de quoi il était capable , je venais le prier de me ...
... n'était pas de forcer la main à M. de Saint - Germaiu pour m'employer , ne me souciant point du tout d'avoir des détails avec un ministre comme celui- là ; mais que , connaissant de quoi il était capable , je venais le prier de me ...
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... n'était que l'aide - de - camp de M. de Saint - Germain , et qu'il lui avait trop d'obligations pour n'être entièrement soumis à ses volontés . Il n'était pas bien difficile de pénétrer où tendaient ces propos . pas Dans son projet de ...
... n'était que l'aide - de - camp de M. de Saint - Germain , et qu'il lui avait trop d'obligations pour n'être entièrement soumis à ses volontés . Il n'était pas bien difficile de pénétrer où tendaient ces propos . pas Dans son projet de ...
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Common terms and phrases
affaires assemblée assez aurait avaient baron de Besenval Broglie c'était Calonne cardinal Castries charge Châtelet Chavigni Choiseul chose comité commandement comte d'Artois comtesse Jules conduite confiance connaissance conseil conversation cour crédit d'Adhémar demander démarche démission déterminer dire donner duc d'Orléans duc de Bourbon duc de Coigny duchesse de Bourbon duchesse de Polignac envoya eût fallait finances fût garde-des-sceaux gardes-françaises gens Guéménée guerre homme instruit j'ai j'avais j'étais jamais jours juger justice l'abbé de Vermond l'archevêque de Sens l'archevêque de Toulouse l'avait l'esprit Lamoignon long-temps madame de Polignac madame la duchesse maréchal maréchal de Ségur Maurepas ment mettre militaire ministre Miroménil Monsieur Montbarrey moyen n'avait n'était nécessaire Necker notables parlemens parlement passé penser place porter pouvait prendre prince princesse propos public raison régiment reine répondit reste rien royaume s'en s'était Saint-Germain Ségur serait seul suite surtout tion troupes trouvai Vaudreuil venait Vergennes Versailles vicomte de Ségur voulait
Popular passages
Page 173 - Lamotte, condamnée à faire amende honorable, la corde au cou, à être fouettée et marquée sur les deux épaules, et mise à l'Hôpital pour le reste de ses jours; M. de Lamotte , absent, condamné par contumace aux mêmes peines que sa femme ; M. Villette , banni à perpétuité ; M.
Page 74 - J'ai ôté ceux de M. le comte d'Artois , et M. de Vibraye ceux de M. le duc de Bourbon : service qui a pensé lui coûter cher; car, en se relevant, il s'est attrapé sous l'œil, à la pointe de l'épée de M. le duc de Bourbon, qu'il avait, comme je l'ai dit, sous son bras.
Page 74 - Sur cela, chacun a mis son épée nue sous son bras, et les deux princes ont marché l'un à côté de l'autre, en causant ensemble, moi suivant M.
Page 259 - Alors se retournant vers la reine : « Madame, lui dit-il, sans demander à votre majesté une décision qui ne peut être douteuse , il me suffit qu'elle me montre quelque désir que je remette une place que je tiens de ses bontés , pour que je la lui rende ; et voilà ma démission. » La reine la prit, en louant beaucoup sa noblesse et son honnêteté; ce qui ne le dédommagea pas...
Page 368 - Je voulus connaître ce dépôt d'armes; et M. de Sombreuil me conduisit dans le souterrain qui les renfermait. Il me dit que dès la veille, effrayé de l'usage qu'on pouvait en faire , il avait imaginé de faire retirer des fusils les chiens et les baguettes; mais qu'en six heures , vingt invalides , qu'il avait employés à cet ouvrage, n'avaient désarmé que vingt fusils; qu'un esprit 'séditieux régnait dans cette maison ; que depuis dix jours l'argent remplissait les poches des soldats; qu'un...
Page 272 - ... à lui communiquer toutes les affaires importantes avant de les traiter avec lui. Cette détermination du roi, surtout pour un homme contre lequel il avait eu les plus fortes préventions, était une marque bien authentique du pouvoir de la reine, disons mieux, du crédit de l'abbé de Vermont sur cette princesse; car c'était l'instrument dont se servait l'archevêque auprès d'elle pour la diriger , suivant ce qui lui convenait. On ne peut nier que dans les circonstances actuelles, qui demandaient...
Page 232 - ... qu'on dit être de lui, quoique cela fût très-faux, qui d'abord eut un grand succès, et qui bientôt fut critiqué. La reine était à une fenêtre du château, dans une grande impatience d'apprendre des nouvelles de la séance. Du plus loin que Monsieur, qui était dans le carrosse du roi, pût en être aperçu, battant des mains, il fit comprendre que tout avait été au mieux : ce qui lui causa une telle joie, que tout le reste de la journée elle combla de caresses tous les notables qu'elle...
Page 43 - Guémené s'attacha à madame Dillon, fille de madame R*** , à laquelle elle ressemblait parfaitement. Madame Dillon était grande et bien faite, quoiqu'un peu maigre. Elle avait un joli teint, un visage charmant, sur lequel était peinte la douceur de son âme , comme elle l'était dans le son de sa voix. Je ne l'ai pas assez connue pour définir son caractère, qui m'a paru, dans le peu que je l'ai vue, plus attrayant que piquant, et entièrement opposé à celui de sa mère. L'attachement de...
Page 343 - Dijon, forcé par sa compagnie de rompre ce mariage, et menacé , par haine et par vengeance contre M. de Lamoignon , d'en être chassé s'il le consommait. De telles considérations ne sont seulement pas aperçues par un public préoccupé de la seule idée de trouver des torts à la cour, et de s'élever contre elle. La retraite de M. de Lamoignon ouvrit un vaste champ à la joie tumultueuse de la basoche et de la populace salariée par le parlement ; elle brûla l'effigie de l'archevêque de Sens...
Page 233 - Il était extraordinaire, a écrit un contemporain, de voir le roi prêt à faire banqueroute dans un instant où la France était si florissante, la population au degré le plus désirable, l'agriculture et l'industrie poussées à leur comble et Paris regorgeant d'argent.