Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1822 |
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... arrêtés , divisés , anéantis eux - mêmes . L'auguste neveu de Marie - Antoinette n'a pu obtenir des alliés de mar- cher en commun vers le but où son cœur voulait les conduire . La séparation des armées royales a rendu décidément la ...
... arrêtés , divisés , anéantis eux - mêmes . L'auguste neveu de Marie - Antoinette n'a pu obtenir des alliés de mar- cher en commun vers le but où son cœur voulait les conduire . La séparation des armées royales a rendu décidément la ...
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... arrête .... L'archidu- chesse s'empresse d'accepter le bouquet qu'il tenait dans ses mains . Le pasteur , pénétré de cet acte de ( 1 ) Les Français ne furent pas seuls sensibles à cet empire de la beauté qu'exerça long - temps Marie ...
... arrête .... L'archidu- chesse s'empresse d'accepter le bouquet qu'il tenait dans ses mains . Le pasteur , pénétré de cet acte de ( 1 ) Les Français ne furent pas seuls sensibles à cet empire de la beauté qu'exerça long - temps Marie ...
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... des lumières ; et , cherchant toujours à me fixer sur des idées sim- ples , je me suis arrêté à reconnaître trois causes premières et immédiates de la révolution fran- :: çaise le désordre des finances , la disposition des.
... des lumières ; et , cherchant toujours à me fixer sur des idées sim- ples , je me suis arrêté à reconnaître trois causes premières et immédiates de la révolution fran- :: çaise le désordre des finances , la disposition des.
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... arrêtés . Tous les bureaux se récrièrent . L'archevêque d'Arles , l'ar- chevêque de Narbonne , le procureur - général du parlement de Provence et le marquis de La Fayette parlèrent d'états - généraux . « Mon avis , dit le pro- » cureur ...
... arrêtés . Tous les bureaux se récrièrent . L'archevêque d'Arles , l'ar- chevêque de Narbonne , le procureur - général du parlement de Provence et le marquis de La Fayette parlèrent d'états - généraux . « Mon avis , dit le pro- » cureur ...
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... arrêté , et , pour leur faire honneur , on les appela les grenadiers de Conti . M. de Calonne luttait courageusement contre la tempête . Il eut encore le crédit de faire ren- voyer le garde des sceaux , qui intriguait sous main , avec ...
... arrêté , et , pour leur faire honneur , on les appela les grenadiers de Conti . M. de Calonne luttait courageusement contre la tempête . Il eut encore le crédit de faire ren- voyer le garde des sceaux , qui intriguait sous main , avec ...
Common terms and phrases
arrêté assemblée avaient bonté c'était Calonne cause chambre château circonstances clergé comte comtesse Du Barry Conseil convocation cour d'Éprémesnil dauphin déclaration délibération demanda députés devait donner duc d'Aiguillon duc d'Orléans duc de Choiseul édit enfans esprit états états-généraux eût factieux faisait famille royale Fayette femme finances force française fût garde-des-sceaux gardes gardes-du-corps gardes-françaises général gouvernement homme j'ai jamais jeune jour l'abbé l'archevêque l'Assemblée nationale l'État laisser lit de justice long-temps Louis XVI madame madame de Polignac madame du Barry magistrats Majesté malheureux maréchal Marie-Antoinette Marie-Thérèse Maurepas membres Mémoires ment ministre Mirabeau monarchie monarque Mounier n'avait n'était nation Necker noblesse notables Note des nouv ordres parlemens parlement personne peuple Polignac populace porter pouvait premier présenter prince princesse province public publique reine répondit respect reste révolution royaume s'était salle séance royale sentimens sentiment serait seul sorte souverain tiers tiers-état tion tout-à-coup trône troupes trouver venait Versailles voulait Weber
Popular passages
Page 357 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 383 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté.
Page 383 - ... de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu ? Eh bien ! c'est moi qui ne suis qu'un avec ma nation, c'est moi qui me fie à vous!
Page 323 - Cette enceinte, élevée de quelques pieds en forme de demi-cercle, était tapissée toute entière de velours violet, semé de fleurs de lis d'or. Au fond, sous un superbe baldaquin, garni de longues franges d'or, était placé le trône. Au côté gauche du trône, un grand fauteuil pour la Reine et des tabourets pour les Princesses ; au côté droit, des...
Page 393 - ... présenter à une foule exaspérée , et tenter de calmer la rébellion par sa présence ; le résultat de son voyage ne pouvait pas se prévoir. Accablée de peines de toute espèce, la reine recueillit ses forces et envoya à minuit le billet suivant à la duchesse de Polignac. « Adieu, la plus tendre des amies ! que » ce mot est affreux ! mais il est nécessaire. Adieu ! » je n'ai que la force de vous embrasser.
Page 49 - Ce roi , plus grand que sa fortune , Dédaignait comme vous une pompe importune ; On ne voyait jamais marcher devant son char D'un bataillon nombreux le fastueux rempart; Au milieu des sujets soumis à sa puissance, Comme il était sans crainte, il marchait sans défense; Par l'amour de son peuple il se croyait gardé.
Page 261 - Ce fut sans doute pour donner aux plus héroïques vertus une patrie digne d'elles, que le ciel voulut qu'il existât des républiques; et peut-être, pour punir l'ambition des hommes, il permit qu'il s'élevât de grands empires, des rois et des maîtres.
Page 335 - ... mon devoir est de rester où la Providence m^a placée et d'opposer mon corps, s'il le faut, aux couteaux des assassins, qui voudraient arriver jusqu'au roi. Je serais indigne du nom de notre mère, qui vous est aussi cher qu'à moi, si le danger me faisait fuir loin du roi et de mes enfants.
Page 457 - Ce qu'on remarquait dans sa personne était l'union de la grâce et de la dignité la plus imposante. Son esprit n'avait rien de brillant , et elle n'annonçait , à cet égard, aucune prétention. Mais il y avait dans elle quelque...
Page 465 - France consiste dans cet espèce de silence religieux et sacré dans lequel on ensevelit, en obéissant presque toujours aveuglément aux rois, le droit que l'on ne veut croire avoir de s'en dispenser que dans les occasions où il ne serait pas même de leur service de leur plaire.